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lundi 31 juillet 2017

CONTRE LA CASSE DE LA SECURITE SOCIALE. -Lettre aux ami(e)s, Lettre aux quidams, Lettre à mes frères et mes sœurs, Lettre aux femmes et aux hommes de ce pays, Lettre à mes camarades, Lettres à vous tous en vos grades et qualités,




 
Jean Luc Ros a publié dans CONTRE LA CASSE DE LA SECURITE SOCIALE.
 
   
Jean Luc Ros
31 juillet, 23:22
 
Lettre aux ami(e)s, 
Lettre aux quidams, 
Lettre à mes frères et mes sœurs, 
Lettre aux femmes et aux hommes de ce pays, 
Lettre à mes camarades, 
Lettres à vous tous en vos grades et qualités, 
Je suis extrêmement plein d’espoir comme l’aurore d’un étonnant jour heureux…….Mes rêves, mes espoirs, mes mots, de lutte et de l’amour viennent de reprendre force et vigueur. 
Je me vois encore marcher dans les chemins avec un drapeau rouge ou tricolore en lambeau pour toutes les inégalités, pour la liberté, pour les espoirs d’un monde à visage humain. Notre éclairage politique, notre capacité théorique fait de nous l’espoir de demain, de notre Histoire. Notre siècle incessant a toujours besoin de cela. Nous avons toujours besoin de rendre perceptible notre invisible. Nous sommes un mouvement qui pense le mouvement. 
Notre audace militante, notre générosité, notre tolérance sont légendaires …….. 
La bannière que nous brandissions ensemble sur l’espérance flottait comme des parenthèses dans la longue phrase que nous avons pu écrire. 
Notre saveur pour la liberté baignait notre œuvre politique. 
N’avons-nous pas encore besoin d’allier la poésie et la vie, le langage et l’utopie. 
Le poète disait que l’Histoire nous croquait la nuque. 
Oui, ensemble nous mordions l’Histoire. 
Nous sommes les Gavroches, les Saltimbanques des carnets d’écriture de l’espérance. 
Nous marchons pieds nus, presque anonymes, avec « les sans riens » … 
Nous sommes la Commune, 36, les Brigades internationales, la résistance, Mai 68…….. Nous sommes bien d’autres choses, de toutes les luttes…… 
D’un revers tout est espoir en ce jour qui arrive……l’espoir de rassembler tout ce qui peut nous unir……..rassembler avec toutes nos divergences les hommes et femmes de progrès………… 
Alors, je nous écris une complainte en détournant ses mots, sans en ôter un seul. En les disposant dans l’espace d’une manière différente, cela fait de ce texte un poème. On le sait le rythme fait sens, et un poème se lit verticalement, même lorsqu’il est écrit comme une prose : 
Elle n’est pas d’aujourd’hui ni même d’hier … En un certain sens et jusqu’à un certain point … Mais en un autre sens et jusqu’à un autre point … Au sens et au point qu’il s’agit d’un autre sens et d’un autre point le chapitre des bifurcations reste ouvert à l’espérance … Tout n’est peut-être pas possible mais quelque chose autre chose sans doute un champ de possible s’ouvre … Il n’est pas sans limites 
C’est ce qui distingue la possibilité déterminée et concrète de la possibilité indéterminée et abstraite qui n’est que le contraire de l’impossible … La clairvoyance est une source qui surgit au centre de l’eau boueuse…….. La Révolution…. 
Ce n’est pas de moi, mais peu importe….il relatait fréquemment que la transformation était un pari. J’en conclu que nous sommes des joueurs et, grâce à lui, je n’ai jamais quitté la table de son jeu….. On se rencontrait dans les mots et les mots nous rencontraient. 
On s’appelle « camarade » parce que nous sommes côte à côte, des frères et des sœurs de tous les espoirs….. 
J’ai toujours les désirs aujourd’hui sans arrêt comme des breuvages contre les cruautés des rapports de production, la trahison de notre drapeau, les contradictions objectives du zoo de la société du spectacle et ses marionnettes de sang. 
En déchiffrant les pictogrammes de la modernité j’invente de nouvelles barricades. 
Nous avons appris ensemble aussi le sens du mot bonheur, même si nous usons parfois nos rivalités apparentes, car le mot bonheur n’a pas le même sens dans notre bouche et dans celle de nos opposants politiques. Comme la mort et comme la vie. 
Salut mes camarades, salut toi de tous nos, mes luttes, salut mon souvenir. 
Mais une pensée qui vient de devant nous et non du passé. 
Ensemble : cette mémoire permanente que nous construisons et qui parfois semble venu de l’avenir. 
Dans ce monde plein d’injustice, aujourd’hui Camarade, tu es un vivant définitif car je veux garder tous mes espoirs pour un monde meilleurs, garder toutes mes utopies, ma liberté…… 
Je nous souhaite des jours heureux…..
Lettre aux ami(e)s,
Lettre aux quidams,
Lettre à mes frères et mes sœurs,
Lettre aux femmes et aux h...
 
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