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dimanche 2 février 2025
La Santé avec Santé non censurée - [J-3] RFK, secrétaire de la santé : une bouffée d’air frais ?
La
Santé
J-3
Avant la révélation de mon enquête explosive sur
les grands scandales de la santé
Chère lectrice, cher lecteur,
Maintenant que Donald Trump est officiellement président des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr. s’apprête à prendre sa place au poste de ministre de la santé.
C’était le 29 janvier dernier et j’ai suivi chaque minute de son audition devant le Sénat.[1]
Oui, cet homme n’est pas un Saint, et il est loin d’être sans reproche.
Mais quand je l’écoute, je me dis pour la première fois qu’on va peut-être avoir la bonne personne à ce poste si important à l’échelle mondiale.
Un dirigeant qui se soucie vraiment de la santé publique.
Je vous fais une synthèse de cette audition, qui n’a pas été sans remous.
La transparence radicale, un cauchemar pour Big Pharma ?
Kennedy a promis une révolution dans la gestion des agences de santé, avec un engagement pour une transparence totale.
Son objectif : que chaque effet indésirable des médicaments et vaccins soit systématiquement signalé et accessible au public.
"Il est immoral d’empêcher les médecins et les patients de signaler les effets secondaires."
Eh oui, car depuis des décennies, l’industrie pharmaceutique et les agences de régulation minimisent les effets secondaires des traitements qu’ils imposent à la population.
Kennedy veut briser cette omerta.
En France, nous en sommes encore très loin.
L’ancien ministre de la santé Aurélien Rousseau osait déclarer sur les ondes de France Inter en 2023 “qu’il n’y avait aucun effet secondaire lié au vaccin anti-COVID”.[2]
Quel honteux mensonge !
Le gouvernement français fait “taire” les victimes d’effets secondaires suite au vaccin.
C’est une évidence à mes yeux, il ne reconnaît que 72 cas[3]... Alors que 200 000 Français vaccinés ont déclaré vivre avec des séquelles, dont certaines à vie[4] (et ce ne sont que ceux qui ont osé en parler à leur médecin).
Et lors de la prochaine campagne vaccinale, combien serons-nous ?
Vaccins : Kennedy veut du "bon sens" et non des dogmes
On l’accuse d’être un "anti-vaccins". Il répond :
"Je soutiens les vaccins. Je soutiens le calendrier vaccinal. Ce que je veux, c’est de la bonne science."
Il est évident pour moi qu’il pointe ici du doigt les vaccins anti-covid, développés à la vite, avec une technologie expérimentale (l’ARN messager) dont on ne connaissait ni l’efficacité ni la toxicité.
Kennedy rappelle aussi que le gouvernement Trump qui était au pouvoir au début de la crise de Covid ne misait pas seulement sur les vaccins ARN, mais aussi sur des traitements alternatifs (comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine).
Des traitements alternatifs que les médias et la doxa médicale se sont empressés de diaboliser.
Un hasard ? Pas du tout.
Pour qu’un vaccin reçoive une autorisation de mise sur le marché, il faut qu’il respecte une condition fondamentale : qu’il n’existe aucun autre traitement efficace pour la même maladie.
Or c’était le cas de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine (HCQ)…
Il fallait donc d’abord que les laboratoires traînent ces traitements dans la boue en sortant des études bidons.
Rappelez-vous le “Lancetgate”, cette fausse étude sur l’HCQ qui avait fait arrêter tous les essais cliniques sur cette molécule.
Les vaccins anti-COVID étaient-ils de la bonne science ? Permettez-moi d’en douter.
Et je félicite Kennedy d’oser le dire, même à demi-mots, devant des sénateurs ouvertement financés par Big Pharma, comme Bernie Sanders ou Elizabeth Warren.[5]
Un homme contre le système ?
"Je ne suis pas là pour un poste ou un job. Je suis là pour réparer ce qui est cassé."
Kennedy dérange. Il met en lumière les conflits d’intérêts massifs entre les agences de santé, les politiciens et les multinationales pharmaceutiques. Il parle des sujets que personne ne veut aborder.
Le Sénat votera bientôt pour sa confirmation. Le système acceptera-t-il un homme qui veut briser l’opacité et redonner le pouvoir aux citoyens ?
Je vous laisse sur une parole qu’il a eue durant l’audition, et qui m’a touché :
Un homme en bonne santé a 1000 rêves. Un homme malade n’en a qu’un seul.
À bon entendeur,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
P.S. : Dans 3 jours, je vais vous révéler le plus gros projet de ma carrière. En toute humilité, je me dis que ce projet pourrait être une bouffée d’air frais, lui aussi, dans le paysage anxiogène actuel. Un antidote contre la pensée dominante. Je ne vous en dis pas plus… et je me réjouis de pouvoir enfin vous en parler !
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