fil d’infos
18 février – Myriam El Khomri souhaite« convaincre les parlementaires » de voter en faveur de son projet de réforme du droit du travail. Mais la ministre n’exclut pas de recourir à l’article 49-3 de la Constitution, faute d’adhésion suffisamment large de leur part. Le texte devrait être présenté au conseil des ministres du 9 mars.
18 février – En « état d’urgence économique », le Venezuela multiplie le prix de l’essence par 60. Le président Nicolas Maduro a également annoncé une dévaluation de la monnaie pour combattre l’hyperinflation qui mine le pays.
18 février – l’avant projet de loi Travail est rendu public. Dans le code du travail il distingue ce qui relève de l’ordre public de ce qui relève de le négociation collective et les dispositions supplétives qui s’appliquent s’il n’y a pas d’accord. »Ce texte contient tellement d’imprécisions que tout pourra être attaqué » déclare un avocat spécialiste du droit du travail.
17 février – 500 tracteurs bloquent le rocade de Rennes, 2 à 300 agriculteurs se sont rendus à la préfecture de région, Valls a annoncé « une nouvelle baisse de charges sociales de 7 points, immédiate et pour tous les agriculteurs » et demandé aux responsables syndicaux de la FNSEA de « faire cesser les manifestations d’agriculteurs ». »Il faut qu’on obtienne aussi des prix rémunérateurs », a déclaré Didier Lucas, président de la FDSEA des Côtes-d’Armor.
17 février – L’assemblée Nationale à moitié vide vote la prolongation jusqu’au 26 mai de l’état d’urgence par 212 voix contre 31 et 3 abstentions.
17 février – 8 heures, Neuf convois de tracteurs sont en route vers Rennes pour bloquer la rocade.
17 février – Les salariés d’Alstom rachetés en novembre par General Electric manifestent à Levallois contre les 765 suppressions de postes décidées par le groupe qui s’était engagé auprès du gouvernement à créer 1000 emplois en France.
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Hongrie manifestation monstre d’enseignants à Budapest
article à lire dans La Tribune des travailleurs du mardi 16 février 2016
Contre le passage de 22 à 36 heures de travail hebdomadaire sans aucune augmentation de salaire, ils organisent un bras de fer avec le gouvernement Orban
Samedi 13 février, à Budapest, a eu lieu un rassemblement de milliers d’enseignants.
Une pétition, partie du lycée de Miskolc a fait l’effet d’une étincelle sur un baril de poudre : 737 établissements scolaires y ont répondu positivement. Cette action fait suite aux protestations locales dans onze villes, tant dans les hôpitaux que les services sociaux ou les chemins de fer.
Quatre millions de Hongrois ont des revenus inférieurs au seuil vital de subsistance, selon le Bureau central de la statistique.
Ce 13 février, on n’avait jamais vu une telle masse de travailleurs rassemblés, sous une pluie battante, dans la capitale.
Une pétition, partie du lycée de Miskolc a fait l’effet d’une étincelle sur un baril de poudre : 737 établissements scolaires y ont répondu positivement. Cette action fait suite aux protestations locales dans onze villes, tant dans les hôpitaux que les services sociaux ou les chemins de fer.
Quatre millions de Hongrois ont des revenus inférieurs au seuil vital de subsistance, selon le Bureau central de la statistique.
Ce 13 février, on n’avait jamais vu une telle masse de travailleurs rassemblés, sous une pluie battante, dans la capitale.
À lire dans La Tribune des travailleurs du mardi 16 février 2016
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