La santé avec Santé non censurée - L’Omicron phobie : “risque très élevé” de désinformation
La santé
L’Omicron phobie : “risque très élevé” de désinformation
Chère lectrice, cher lecteur,
Jamais nous n’avions si bien révisé notre alphabet grec que ces deux dernières années, ne trouvez-vous pas ?
Après alpha, bêta, gamma, delta, zêta, êta, iota, kappa, lambda et mu1… voici le dernier de la portée, omicron2 !
Impossible de passer à côté de ce nouveau variant du Covid-19 qui secoue l’actualité mondiale.
Un Super-Variant qui va faire des vagues
Détecté pour la première fois en Afrique du Sud, Omicron attise toutes les inquiétudes.
Et pour cause, son nombre élevé de mutations (au moins 43 contre 18 pour le variant delta3) le rendent potentiellement plus transmissible, mais aussi plus résistant aux traitements actuels4.
Ce nouveau venu prend de court les scientifiques qui ne savent pas encore à quoi s’en tenir avec lui, notamment en matière de vaccins :
« Le souci, c'est que lorsque vous avez autant de mutations, cela peut avoir un impact sur la façon dont le virus se comporte à l’avenir. (...) Il nous faudra quelques semaines pour comprendre l'impact de ce variant sur tout vaccin potentiel » annonçait une responsable technique de l’OMS, la semaine dernière5.
Autant dire que l’OMS est dans le flou complet :
« Il n’est pas encore clair si Omicron est plus transmissible (...) par rapport à d’autres variantes, y compris Delta6. »
« Il n’est pas encore clair si l’infection par Omicron provoque une maladie plus grave par rapport aux infections avec d’autres variantes, y compris Delta7. »
Mais pendant ce temps, Omicron n’a, lui, pas perdu de temps et révèle un taux de contagiosité très élevé8 sur une échelle de 100 jours !
Ultra contagieux oui, mais…
Pourtant, ce qui est étonnant avec Omicron, c’est que malgré ses forts pouvoirs de contagiosité, ses effets ne semblent pas si violents que ça…
En effet, les symptômes rapportés par les médecins sur place sont qualifiés de légers, ne nécessitant aucune hospitalisation9.
Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine, n’a relevé pour le moment qu’ “une extrême fatigue, une toux sèche, une gorge qui gratte10” et “des courbatures11”, mais n’exclut pas “des maladies graves12”.
En revanche, ce qui est plus alarmant, c’est que ce nouveau variant, extrêmement contagieux, s’attaquerait à toute la population, vaccinée ou non.
Au Botswana, un communiqué de presse annonce clairement que tous les patients reconnus atteints de ce nouveau variant étaient complètement vaccinés13.
Bien évidemment, il ne s’agit “que” de quatre personnes, pour le moment. Mais cette déclaration atteste bien que les vaccinés ne sont pas à l’abri du danger.
Pourtant, en Occident, les autorités se servent de ce nouveau variant comme propagande médiatique pour convaincre les foules d’aller se faire vacciner une troisième fois.
Tandis que dans l’ombre, les géants pharmaceutiques sont près à dégainer leurs nouveaux produits “spécial Omicron” d’ici moins de 100 jours14 !
Et parallèlement, on crie au loup et on appelle à fermer les frontières.
Mais la vraie question est plutôt : a-t-on encore aujourd'hui les capacités d’encaisser une vague d’un super-variant résistant aux vaccins ?
Depuis 2020, le gouvernement n’a pas financé de lits supplémentaires dans les hôpitaux, dont les places diminuent à vue d'œil15.
On ne sait peut-être pas si Omicron est une réelle menace ou non. Mais ce qui est sûr, c’est que l’on ne se donne pas les vrais moyens pour lutter sereinement contre l’épidémie !
Comptez sur ma petite équipe et moi pour surveiller ce nouveau venu ! Nous tâcherons de vous fournir des informations objectives, tout en vous épargnant les peurs inutiles créées par les médias.
Prenez soin de vous,
Thibaud de Santé Non Censurée
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