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jeudi 30 septembre 2021

La santé avec alternatif bien-être - Un accident « prévisible », ce n’est plus un accident – c’est un délit

 

La santé 

Un accident « prévisible », ce n’est plus un accident – c’est un délit

Chers amis,

La semaine dernière, le décès dans les Bouches-du-Rhône d’une lycéenne de 16 ans après une double injection de Pfizer, a provoqué une colère doublement légitime.

D’abord, parce que cette très jeune femme, prénommée Sofia, n’avait aucun antécédent médical. Elle n’avait aucune faiblesse cardiaque identifiée, aucun « terrain » à surveiller.

Pourtant, elle a fait, moins d’une semaine après sa seconde injection, deux crises cardiaques et une thrombose. Elle est morte à l’hôpital mardi 21 septembre.

L’autopsie a révélé une « embolie pulmonaire massive inexpliquée »[1] et le médecin légiste n’a pas donné d’explication claire sur cette étrange et soudaine embolie chez une jeune femme en parfaite santé… avant sa double injection.

L’autre raison de la colère, c’est le silence assourdissant des médias grand public. Est-ce du mépris, ou du déni ?

Ces mêmes médias qui n’hésitaient pas, il n’y a pas si longtemps, à s’attarder sur chaque mort attribuée au Covid, est muette quant aux décès « douteux » survenant après une ou deux injections du vaccin anti-Covid.

(Soit dit en passant, vous remarquerez que le décompte des cas et des morts du Covid ne passionne plus les médias. Et pour cause : il n’y a plus de chiffres propres à effrayer la population – la « crise sanitaire » est donc techniquement terminée… mais le reconnaître, ce serait admettre qu’il est temps d’abroger le Pass sanitaire, qui n’a de facto plus de raison d’être)

À ma connaissance, parmi les journaux classiques, seul Libération a traité le sujet de la mort de cette lycéenne… à la demande de ses lecteurs. C’était dans sa rubrique « Checknews ».

Ce traitement confirme que, malheureusement, ce grand journal se contente de dire ce que l’État attend de lui qu’il dise.

« Pas de sur-risque de thrombose établi pour les vaccins autorisés pour les mineurs »… Vraiment ??

À mesure que les preuves des problèmes sanitaires et éthiques posés par la vaccination massive et de facto forcée s’accumulent, la position des grands titres de presse sous perfusion de l’État et donc acquis à la cause vaccinale, est de plus en plus inconfortable.

Libération ne fait pas exception, et son exercice d’équilibriste est sinon risible, du moins pathétique.

Ce journal classé de gauche, notoirement très proche du courant et des idées de Christiane Taubira, a dû la semaine passée recourir à des trésors de rhétorique pour défendre sa figure tutélaire… qui refuse d’appeler à la vaccination en Guyane, par manque de recul[2].

Je salue, pour ma part, l’honnêteté intellectuelle de Christiane Taubira.

On assiste au début de cette semaine au même malaise dans le traitement du décès de Sofia Benharira suite à ses deux injections Pfizer.

Le journal rappelle les faits, accablants, mais d’une part joue la carte de la présomption d’innocence, si je puis dire, en rappelant que les « investigations sont en cours », et d’autre part rassure, sur un mode triomphal ahurissant : « Pas de sur-risque de thrombose établi pour les vaccins autorisés pour les mineurs »[3].

Comprenez : « bon, d’accord, le décès de cette jeune femme de 16 ans est selon toute vraisemblance dû à la vaccination anti-Covid, mais ne généralisons pas. »

J’avais intitulé l’une de mes lettres, avant l’été, « même devant l’évidence toujours nier ».

Nous sommes ici dans le même registre.

Car, d’une part, la conclusion de Libération repose sur des chiffres de pharmacovigilance dont on peut à tout le moins suspecter qu’ils sont en-deçà de la réalité (l’ANSM recense tout de même 1’260 signalements sur huit mois, dont 631 embolies pulmonaires, pour près de 70 millions d’injections, ce qui n’est tout de même pas rien) et, d’autre part, ces chiffres sont contredits par d’autres études… qui ne laissent aucune place à l’ambiguïté.

Pour une hospitalisation covid évitée, jusqu’à 5 hospitalisations pour myocardite

Au Royaume-Uni, où la vaccination anti-Covid des 12-15 ans avait été un moment en projet, une quantité alarmante de myocardites – c’est-à-dire une inflammation du muscle cardiaque – avait été observée chez les enfants et adolescents ayant reçu des doses de vaccins à ARNm.

La BBC, en juillet, avait ainsi dressé une infographie glaçante, montrant que, pour un million de secondes doses de vaccins, 6 hospitalisations covid étaient évitées, et entre 12 et 34 hospitalisations pour myocardite avaient lieu[4] :

Cette explosion de cas de myocardites a été confirmée par la Task Force chargée de la vaccination anti-Covid aux États-Unis, qui a observé entre 23 et 40 fois plus de myocardites chez les plus jeunes avec ces injections[5].

Voici les chiffres du rapport :


Vous avez la classe d’âge tout à gauche, puis les patients de sexe féminin sur la double colonne de gauche, et ceux de sexe masculin sur la double colonne de droite.

Pour chacun des sexes, une première colonne indique le nombre « attendu » de myocardites, et la seconde le nombre de myocardites observé.

Les chiffres en rouge sont ceux qui « explosent les compteurs ».

Face à ces chiffres inquiétants, le Royaume-Uni a finalement décidé début septembre de renoncer à la vaccination des moins de 15 ans.

Et en France ?

Tout va bien, Madame la Marquise.

Les experts du Ministère de la Santé, les conseillers scientifiques d’Emmanuel Macron, ont-ils eu accès à ces chiffres ?

Bien sûr, puisqu’ils sont publics. Alors, pourquoi n’ont-ils pas suivi l’exemple britannique ?

Parallèlement, le Royaume-Uni a constaté une forte hausse inhabituelle des décès durant l’été qui vient de s’achever.

D’ordinaire, l’été est une période qui connaît moins de décès que l’hiver. Or, cette année, les chiffres sont « aberrants » : on compte près de 10 000 décès en plus… dont la moitié n’ont rien à voir avec le Covid.

En effet, la quasi-totalité de ce « surplus » de décès ont des causes… cardiovasculaires[6]. Hasard ou coïncidence ?

On peut y voir l’une des raisons pour lesquelles, il y a quelques jours, le gouvernement britannique a annoncé renoncer à mettre en place le passeport vaccinal[7].

Il n’est plus question de balance bénéfice-risque

Revenons à la vaccination chez les plus jeunes.

On ne peut, en toute honnêteté, même plus parler de « balance bénéfice-risque » :

  • Le « bénéfice » de cette vaccination ne les a jamais concernés directement puisque cette tranche d’âge est, de très loin, celle qui a le moins souffert du Covid depuis le début de la pandémie – cette vaccination n’avait qu’un seul but : essayer d’atteindre l’immunité collective… pour protéger les personnes plus âgées (on a vu depuis que cet objectif était une chimère) ;
  • Le « risque » n’est plus de l’ordre de l’accident statistiqueil est de l’ordre de la probabilité car oui, plus vous êtes jeune, plus la vaccination anti-Covid vous expose à des graves effets secondaires cardiaques.  

Le décès « accidentel » de Sofia Benharira n’a donc rien d’accidentel : il aurait pu être évité si nos décideurs politiques avaient lu les rapports américains et britanniques concernant les graves effets secondaires de ces injections chez les plus jeunes.

Combien de drames encore avant que nos autorités reconnaissent leur faute ?

Le moment arrivera où c’est devant un tribunal que ces gouvernants et médecins devront répondre de leurs actes.

C’est le cas en Italie, où une adolescente de 14 ans est également décédée suite à sa seconde injection du vaccin anti-Covid.

Un mois plus tard, trois médecins ont été mis en examen, dont celui qui a pratiqué la seconde injection[8].

Comme dans le cas français, il s’agissait d’une patiente sans problème de santé avant cette vaccination.

Mettre face à leurs responsabilités, au pénal, les médecins qui suivent les yeux fermés les ordres du gouvernement en réveillera-t-il certains ?

J’ai l’impression que nous en sommes très, très loin en France, où l’un de nos médecins les plus médiatiques, Michel Cymès, a récemment eu le culot de traiter de « tarés » les médecins qui refusent de vacciner leurs patients pour raison médicale (oui, oui, il l’a dit)[9].

Et si on arrêtait de s’insulter pour empêcher ces morts évitables et inutiles – bref, absurdes ?
 

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet




 
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