Dans la presse étrangère |
Manifestation en Russie : Navalny teste ses forces |
L’opposant Alexeï Navalny a participé à une manifestation à Moscou, le 14 mai 2017. Plus de 10 000 personnes ont protesté contre un plan controversé de destruction d’immeubles de l’ère soviétique. PAVEL GOLOVKIN / AP
|
|
Sans-papiers à Montréal. Ces dizaines de milliers d’invisibles font tourner l’économie de la ville canadienne, moins accueillante que certaines métropoles américaines. La Presse a mené l’enquête sur ces travailleurs jetables, qui vivent dans la crainte des contrôles, ne mangent pas toujours à leur faim et ne peuvent envoyer leurs enfants à l’école – comme Julia, une ancienne syndicaliste mexicaine qui a perdu « sa dignité ».
Une nouvelle crise couve au Népal. Le nouveau premier ministre, Sher Bahadur Deuba, doit organiser des élections dans le sud du pays d’ici à janvier 2018, au risque de déclencher sans cela un conflit de long terme. Des minorités réclament un amendement à la Constitution de 2015, pour mettre un terme à leur marginalisation ; ce qui requiert la majorité des deux tiers du Parlement. Autre défi, à l’étranger cette fois : mettre en œuvre les accords avec la Chine signés par son prédécesseur sans affecter les relations du Népal avec l’Inde. The Diplomat
Pour une politique étrangère différente en Afrique du Sud. Il serait temps de voir plus loin que les BRICS, estime un rapport de l’Institut pour les études sur la sécurité. L’adhésion à ce groupe des puissances émergentes, avec le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, est la plus belle réussite de l’administration Zuma en termes de politique étrangère. Mais elle a été polluée par ses intérêts personnels. Le pays devrait désormais se concentrer sur l’Afrique, selon les auteurs du rapport, interrogés par The Daily Vox.
Risque de déstabilisation aux Philippines. Les combats entre l’armée et les islamistes affiliés à l’organisation Etat islamique (EI) font rage sur l’île de Mindanao. La ville de Marawi est même en état de siège depuis le 23 mai. Les djihadistes partis combattre en Irak et en Syrie sont de plus en plus nombreux à rentrer : les civils sont pris en étau. Le Temps
source Le Monde.fr
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire