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Un site web ET une revue trimestrielle | | | Vous connaissez le site web d’Options : journaloptions.fr, mais Options, c'est aussi une revue trimestrielle thématique qui paraît en mars, juin, septembre et décembre de chaque année. À paraître en mars 2024 : un numéro consacré à l’intelligence artificielle.
Au total, 98 pages d’articles inédits, de contributions croisant les approches syndicales et universitaires, d’infographies ainsi qu’une sélection d'articles publiés sur le site web Options.
Pour vous abonner à la revue Options, vous pouvez souscrire directement en ligne (via HelloAsso) avec un paiement par CB, pour recevoir les 4 numéros par an. - Édition générale : 49 euros
- Retraité·e·s, étudiant·e·s, privé·e·s d’emploi : 30 euros
- Tarif unitaire (hors abonnement) : 19 euros
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| | | | Modes de vies, modes de production… les activités humaines épuisent la planète et sont responsables du changement climatique. Le syndicalisme fait le pari qu’il est encore possible d’y remédier, en travaillant mieux pour oxygéner l’avenir. Il n’est pas trop tard pour participer aux mutations, qui sinon, seront subies, contraintes et brutales, en particulier pour les plus fragiles. En croisant approches syndicales, scientifiques ou universitaires, Options vous propose des analyses et pistes d’actions, pour construire une transition écologique réconciliant enjeux environnementaux et réponse aux besoins sociaux. | | | |
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| | | | De plus en plus diplômés, les jeunes cadres et professions intermédiaires s’impliquent dans le monde du travail en portant toutes leurs contradictions : individualistes et engagés ; hyperconnectés et attachés aux enjeux environnementaux ; centrés sur leurs aspirations et solidaires des plus âgés. Options propose de questionner leurs rapport au travail, à la citoyenneté et à la démocratie, moteurs de leur mobilisation dans le mouvement contre la réforme des retraites. Pour le syndicalisme salarié, comprendre ce qui anime la génération dite « digitale » est un enjeu vital. | | | |
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| | | | Plus de vingt ans après les trente-cinq heures, la Cgt soutient la nécessité d’une nouvelle étape de réduction collective du temps de travail, légitimant une aspiration des salariés à travailler moins et mieux. Sa campagne pour les trente-deux heures, et leur traduction en semaine de quatre jours, s’inscrit pourtant dans un contexte renouvelé : avec l’essor des outils numériques, d’autres modalités d’organisation du travail, dont le télétravail, ont émergé ; l’extension des forfaits jours s’est accélérée ; de nouveaux enjeux, environnementaux ou d’égalité, se sont imposés. En montrant que la Rtt est historiquement toujours une lutte, Options propose de l’envisager à l’aune de ces réalités. Elles ont été au cœur des Rencontres d’Options « Travailler moins, vivre mieux : comment fait-on ? », le 21 juin 2023, au Cedias-Musée social, Paris 7e. | | | |
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| | | | Depuis plusieurs décennies, les salaires sont la cible de stratégies patronales visant à les déconnecter de la qualification. Ces stratégies ont un prix : l’accélération du déclassement professionnel, alimentée aujourd’hui par le retour de l’inflation. En croisant les approches syndicale et universitaire, Options pose l'exigence d'une réconciliation dynamique entre des salaires indexés automatiquement sur le coût de la vie et la reconnaissance des qualifications : pour obtenir des revalorisations salariales, maintenir le pouvoir d'achat et assurer le financement solidaire de la protection sociale, dont les retraites | | | |
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