Au dernier moment, l’Allemagne, la France et l’Italie se refusent à entériner l’accord intervenu en décembre sur le « devoir de vigilance ». L’avenir de ce texte, qui lutte contre les violations de droits humains et les dégâts environnementaux des entreprises, est fortement compromis. « Si cette directive ne passe pas, Macron aura du sang sur les mains », juge Manon Aubry (LFI). |
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