La pétition que j’ai lancée contre les vaccins anti-Covid est une traînée de poudre… vous êtes déjà 60 000 à l’avoir signée, en moins de 48 heures.
Cela me renforce dans mon combat : le gouvernement doit respecter le principe de précaution concernant les vaccins anti-Covid.
C’est à dire, avant de passer à une vaccination généralisée de la population, réunir toutes les preuves de sécurité nécessaires, au-delà de l’efficacité recherchée.
Or, à ce stade, il existe trois gros problèmes avec ces vaccins, qui démontrent que ces preuves sont très, très, très loin.
Problème n°1 : des règles de sécurité de base… bafouées avec l’aval des autorités
Dans cette course au “vaccin à tout prix”, il y a deux sortes de laboratoires concurrents :
Ceux qui veulent aller vite, mais dans le respect des protocoles de sécurité ;
Ceux qui veulent être les premiers, quoi qu’il en coûte.
Malheureusement, les autorités ont « poussé » ces derniers… en annonçant dès le départ que les règles seraient beaucoup plus élastiques que d’habitude.
Nous parlons de vaccins, tout de même, l’une des technologies sanitaires les plus sensibles du monde médical !
Dès le mois de juillet 2020, la Commission européenne annonçait ainsi que l’autorisation des vaccins anti-Covid serait “fondée sur des données moins complètes que ne le serait une autorisation normale”. (1)
Comment peut-on être d’accord avec cela ?
Problème n°2 : les fabricants de vaccins eux-mêmes estiment ne pas être prêts
Au sein même des premiers laboratoires – ceux qui font la course en s’efforçant de « respecter les règles » - des voix s’élèvent pour dire “nous ne sommes pas prêts”.
Suite à des résultats décevants, et sans doute confrontés à la difficulté de garantir une bonne innocuité, les laboratoires Sanofi et GSK viennent de retarder le lancement de “leur” vaccin à fin 2021.(2)
En Australie, un vaccin en première phase d’essais à l’Université du Queensland a été interrompu. Ce dernier déclenchant une réponse d’anticorps pouvant interférer avec le dépistage du VIH. (3)
De multiples questions restent sans réponse, trop de zones d’ombres subsistent, comme :
La durée de protection des vaccins ;
L’innocuité des nouvelles formes de vaccins à ARN ;
L’efficacité des vaccins sur la forme sévère du virus ;
L’effet sur la transmission des personnes asymptomatiques (4)
Comment distribuer à grande échelle des produits hâtivement réalisés dans une telle incertitude ?
Problème n°3 : des protocoles précipités, des études bâclées
Regardez le tableau ci-dessous. Il récapitule la durée qui a été nécessaire pour l’élaboration de chacun des grands vaccins utilisés actuellement.
Vaccin
Durée de développement
Covid-19
5 à 8 mois
Ebola
5 ans
Pédiatriques combinés
11 ans
Rotavirus
15 ans
Papillomavirus
15 ans
Grippe
28 ans
Varicelle
28 ans
(5)
N’est-ce pas ahurissant ?
Avec le Covid, les chercheurs ont réussi en quelques mois ce qui leur a pris 10, 20, 30 ans pour TOUTES les autres grandes maladies !
Avec un Covid-19 particulièrement agressif et non-maîtrisable !
Els Torrele, ex-directrice de la campagne Accès aux médicaments de Médecins Sans Frontières, dénonce la conception des essais cliniques, réalisés “pour qu’ils donnent le meilleur résultat possible”. L’efficacité des vaccinations n’est :
pas mesurée de manière homogène ;
les populations vaccinées ne sont pas les mêmes ;
les placebos non plus. (5)
AstraZeneca et Oxford auraient complètement exclu, dans un de leurs tests, les plus de 55 ans d’un groupe de participants (6). C’est le grand désordre.
Problème n°4 : des vaccins à base d’OGM !
Voici sans doute le plus grave : parmi les vaccins disponibles sur le marché, trois sont faits à partir d’OGM : les vaccins AstraZeneca, Johnson & Johnson et Spoutnik.(7)
Or la législation encadrant les OGM en France est claire et sans appel : les OGM chez nous, c’est non. (8)
Le Parlement lui-même reconnaît que certaines technologies de vaccins OGM, dont les vaccins ADN et ARNm, n’ont jamais été homologuées chez l’homme et sont encore expérimentales. (9).
Vous le savez, on n’a AUCUN droit de cultiver des OGM dans notre pays.
Et l’importation est limitée à quelques rares produits.
Et on voudrait nous injecter des OGM...
Dans notre corps ??!...
Axel Kahn, généticien et spécialiste de l’éthique, président de la Ligue contre le Cancer, dit qu’il ne sait pas s’il utilisera personnellement ces vaccins.
Nous devons “exiger une étude d’innocuité très poussée” avant de le faire, a-t-il déclaré à l’”Usine Nouvelle” le 3 décembre. (10)
Mais alors que proposez-vous Rodolphe ?!
Vous avez sans doute envie de me dire : “c’est bien d’être “contre” mais que proposez-vous, Rodolphe ?”
Je vous propose d'abord de rejoindre d’urgence la grande pétition nationale contre les vaccins OGM.
C’est déjà un premier pas.
Ensuite, demander au gouvernement d’attendre.
Attendre que les laboratoires aient terminé leurs travaux en suivant des protocoles complets et pas bâclés
Attendre que tous les tests d’innocuité soient effectués dans les règles
Attendre le résultat, avant toute vaccination à base de produits douteux comme les OGM, d’autres pistes comme le Molnupiravir, ce médicament anti-viral expérimental qui, suite à des premiers tests sur des furets aurait bloqué la transmission du virus en seulement 24 heures. (11)
Prenons le temps d’étudier toutes les solutions en profondeur et d’opter pour la meilleure d’entre elles, en toute connaissance de cause.
Nous avons besoin de transparence. Nous avons besoin d’être sûrs.
“Covid-19 : Enquête sur le vaccin”, Science et Vie, Novembre 2020
Règlement 2020/1043 relatif à la conduite d’essais cliniques avec des médicaments à usage humain contenant des organismes génétiquement modifiés ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou prévenir la maladie à coronavirus (Covid-19), ainsi qu’à la fourniture de ces médicaments.
Rédacteur en chef du mensuel Alternatif Bien-Être, je partage en exclusivité avec vous mes recherches sur la santé.
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