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mercredi 29 janvier 2020

ESSURE : que la sécurité sociale avertisse les porteuses des dangers qu'il provoque !

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ESSURE : que la sécurité sociale avertisse les porteuses des dangers qu'il provoque !
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Nous sommes près de 170 000 femmes en France , a avoir non choisi, mais consenti un système de stérilisation tubaire définitif.

Le disposif "ESSURE" a été décommercialisé il y a deux ans. (procès Bayer)

Nous sommes victimes pour la plupart, d'adénomyose, de pertes de concentrations, de mémoire mais aussi de douleurs musculaires, tendinites, bursites, pertes hémorragiques, douleurs pelviennes insupportables, et j'en passe ! 

Nous avons choisi, pour celles qui sont au courant des problèmes (car ils ont été bien cachés), de nous faire explanter.

Pour cela, nos organes génitaux devront être retirés, puisque les ressorts sont situés dans la corne des trompes pour qu'elles soient bouchées.

Certaines ont perdu ces dispositifs dans leurs corps qui se promènent par exemple dans l'utérus ou les intestins.

Nous devons donc nous faire ôter les trompes (si les dispositifs ESSURE sont encore bien placés).

Pour moi l'adénomyose, et l'hyperplasie dévoilées en début de cette année, conduiront à l'ablation du col de l'utérus, et des trompes.

Pour ma part, j'ai un taux de nickel important dans le sang (je ne parle pas d'allergies) et aucune de nous n'a fait de tests ou de prélèvements sanguins. La pose des ressorts se faisait en cabinet gynécologique en 30 minutes. Une révolution soit disant dans le domaine.

Ces petits bouts de ressorts aujourd'hui nous empoisonnent, ces femmes qui se font explanter tous les jours en France, et dont on ne parle que très peu, ont besoin d'aide !

Merci aux médias ayant déjà parlé de cette affaire dont France3 Rhones Alpes Auvergne et Alsace car les seules averties sont celles qui regardent les reportages TV et les informations sur Internet !

Lorsqu'elles ont des doutes sur leurs douleurs et les associent au dispositif ESSURE, c'est un silence ! Personne n'a informé ni aidé ces femmes ni avant, ni après ! 

La Sécurité Sociale n'a prévenu aucune femme ayant ce dispositif, ni adressé de courriers afin de contrôler si migration il y a eu ou si des symptômes s'étaient déclarés afin d'effectuer un suivi !

Nous vivons avec deux bombes à retardement dans le corps, pour beaucoup de celles qui ont enfanté et qui ne désiraient plus d'enfants.

Le silence est d'or.

Nous désirons toutes que la Sécurité Sociale s'intéresse à nos cas ET NOUS INFORME !
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