Translate

vendredi 23 mai 2025

La Santé avec Santé non censurée - Ils nous l’ont mise à l’envers !

 La Santé

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est les yeux rouges de fatigue et de colère que je vous écris aujourd’hui.

Je suis tombé là-dessus :

Le Projet Pandémie de l’OMS est passé, au forceps certes, mais il est passé…

Le mot “scandale” n’est pas assez fort.

Alors que le 28 mai 2024, presqu’un an jour pour jour, nous avions réussi à faire échouer les négociations…

…ils les ont continuées en secret, pour nous mettre devant le fait accompli !

(Eh oui, s’ils agissent en secret, le public ne peut pas faire pression, c’est calculé de leur part).

Pour rappel, ce projet propose de centraliser dans l’OMS la réponse internationale aux pandémies et aux catastrophes sanitaires.

Autrement dit, les États membres –  et par extension, les populations – seront obligés de suivre à la lettre les recommandations de l’OMS.

Mais avant de vous redire pourquoi c’est très grave et potentiellement le début d’une dictature sanitaire d’envergure inédite, j’ai besoin de vous.

Nous pouvons encore agir : 60 pays (dont la France) doivent encore ratifier le traité pour qu’il soit officiel

Le traité ne peut pas encore être mis en place.

Il doit être ratifié par 60 États membres, dont la France.

Cela veut dire que nous avons encore le temps de tirer la sonnette d’alarme et de faire entendre notre voix.

Nous ne voulons pas revivre le fiasco des mesures sanitaires durant le COVID.

Nous ne voulons pas que la France signe ce traité.

Nous devons garder le contrôle sur notre santé.

Je me permets donc de relancer la pétition que j’avais écrite il y a un an, qui reste d’actualité.

S’il-vous-plaît, faites circuler cette pétition au maximum !

Je signe la pétition pour que la France ne ratisse pas le Projet Pandémie (Non à la dictature sanitaire)

Pour celles et ceux qui ont besoin d’une piqûre de rappel (sans mauvais jeu de mot), voici un résumé de ce qui a été décidé, comment cela s’est déroulé, et pourquoi les questions de souveraineté, de responsabilité et de gouvernance mondiale suscitent des inquiétudes.

L’Accord pandémique de l’OMS : la porte ouverte à la dictature sanitaire ?

Le 20 mai 2025, les États membres de l’OMS ont adopté le premier Accord Pandémique international de l’organisation lors de la 78ᵉ Assemblée mondiale de la santé à Genève.

Il n’y a eu ni vote parlementaire, ni débat public, ni référendum.

Le traité a été adopté par consensus, et non par vote formel : cela signifie que des gouvernements, dont celui du Royaume-Uni, ont donné leur accord sans passer par le peuple.

Ce traité vise à remédier aux échecs mis en lumière par la gestion de la COVID-19 par plusieurs pays.

Il énonce des engagements juridiques :

  • Partager échantillons de pathogènes & données génétiques (bonjour les fuites de labo)
 
  • Distribuer les vaccins de façon « équitable » (lisez " potentiellement obligatoire")
 
  • Renforcer la surveillance internationale (= dictature)
 
  • Faire respecter les mesures de l’OMS (sous peine de sanctions ?)
 
  • Développer des systèmes mondiaux de certification de santé numérique (le passeport vaccinal obligatoire pour voyager).

Vous risquez d’être fiché, où que vous soyez.

Si vous avez décidé de ne pas vous faire vacciner, vous risquez d’être "sur liste rouge" dans tous les États Membres de l'OMS. Pourrez-vous encore voyager ?

C'est le cauchemar qu'avait imaginé Orwell.

Cet accord ne se limite pas à la réponse aux pandémies : il s’appuie sur le cadre « One Health » de l’OMS, qui considère la santé humaine, animale et environnementale comme interdépendantes.

Les critiques (à juste titre) estiment que cela étend le mandat de l’OMS, lui permettant d’influencer les systèmes alimentaires, la politique climatique, l’agriculture et l’aménagement du territoire sous couvert de « prévention des pandémies ».

Si l’OMS ne peut pas supplanter les lois nationales, le traité crée des obligations internationales contraignantes.

Des gouvernements pourraient s’en servir pour justifier lois d’urgence ou pouvoirs de santé publique étendus, tout en invoquant la « coordination internationale ».

L’OMS n’est pas une institution démocratique : son Directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n’est pas élu par les citoyens, mais nommé via des négociations diplomatiques entre États membres.

Ses controverses passées, notamment sur la gestion initiale de la COVID-19 et ses liens avec la Chine, ont renforcé les doutes quant à son impartialité.

L’OMS a de sérieux conflits d’intérêts

Les principaux bailleurs de fonds de l’OMS ne sont pas majoritairement des gouvernements. En 2023, ses plus gros contributeurs étaient :

  • Fondation Bill & Melinda Gates
  • Alliance GAVI
  • UNICEF
  • Commission européenne

Autrement dit, des fondations PRIVÉES influencent voire définissent  les priorités de santé MONDIALE.

Est-ce raisonnable ?

Est-ce souhaitable ?

Permettez-moi de penser tout le contraire !

En prévision : un système de partage de virus entre pays qui pose problème

Parmi les dispositions les plus controversées figure la mise en place d’un système d’Accès aux Pathogènes et de Partage des Avantages (PABS).

Ce système permettrait à l’OMS d’obtenir des échantillons de pathogènes de n’importe quel pays et de redistribuer des produits pharmaceutiques selon un cadre « équitable » — au risque de contourner les chaînes nationales d’approvisionnement en vaccins.

Le traité encourage aussi l’adoption de systèmes numériques de documentation sanitaire, susceptibles d’évoluer vers des identifiants numériques permanents liés à la vaccination ou à l’état de santé.

Dit clairement : si à l’avenir vous voulez voyager, il vous faudra un passeport vaccinal à jour, validé par les autorités. Sinon, vous resterez confiné chez vous !

Plusieurs pays ont osé dire NON, mais cela n’a rien changé

Plusieurs pays se sont abstenus ou ont objecté durant la phase de négociation : Pologne, Russie, Italie, Iran et Slovaquie.

Leurs préoccupations : perte de souveraineté nationale, manque de clarté juridique et risque d’imposition de politiques par des instances non élues.

Au Royaume-Uni, il n’y a pratiquement eu aucun débat parlementaire sur ce traité, aucun communiqué officiel du Premier ministre ou du ministre de la Santé : malgré ses conséquences à long terme, le gouvernement est resté discret, sans jamais consulter la population.

Les États-Unis ont simplement refusé de participer au débat, depuis qu’ils ont annoncé leur retrait de l’OMS.

Tandis qu’en France…

Le Président Macron fanfaronne à l’ONU

Par contre, Emmanuel Macron, lui, se félicite de la signature de ce traité :

"En adoptant cet accord, nous portons une conviction forte : protéger la santé des populations" (ONU, Genève mai 2025)

Si vous voulez protéger les populations, pourquoi ne pas commencer par vous occuper des victimes des vaccins du COVID-19, à tout hasard ?

Vous l’aurez compris, ce projet pandémique est la porte ouverte à un système de contrôle de la santé mondiale.

Autrement dit, la promesse de revivre le fiasco des mesures sanitaires du COVID… en bien, BIEN PIRE !

Alors avant de tomber dans l’heure la plus sombre de notre Histoire moderne, essayons de faire pression sur nos gouvernants.

Tout ce que je vous demande, c’est de signer la pétition ci-dessous :

Je signe la pétition pour que la France ne ratisse pas le Projet Pandémie (Non à la dictature sanitaire)

À bon entendeur et merci pour votre soutien,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée

P.S. : Si vous avez des réactions à chaud à la lecture de ce billet, faites-les moi parvenir ICI.


Recommandé pour vous :

Si vous souhaitez commenter cet article, je vous invite à le faire ici

******************************

Si vous n'êtes pas encore abonné à la lettre Santé Non Censurée et que vous souhaitez vous aussi la recevoir gratuitement, 
inscrivez-vous ici.

******************************

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’ éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

La lettre Santé Non Censurée est un service d'information gratuit de Nouvelle Page. Pour toute question, 
rendez-vous ici.


Les éditions Nouvelle Page SA - Siège social :
Place Saint-François 12bis c/o LORALIE SA 1003 Lausanne, Suisse

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire