Pour celles et ceux qui ont besoin d’une piqûre de rappel (sans mauvais jeu de mot), voici un résumé de ce qui a été décidé, comment cela s’est déroulé, et pourquoi les questions de souveraineté, de responsabilité et de gouvernance mondiale suscitent des inquiétudes.
L’Accord pandémique de l’OMS : la porte ouverte à la dictature sanitaire ?
Le 20 mai 2025, les États membres de l’OMS ont adopté le premier Accord Pandémique international de l’organisation lors de la 78ᵉ Assemblée mondiale de la santé à Genève.
Il n’y a eu ni vote parlementaire, ni débat public, ni référendum.
Le traité a été adopté parconsensus, et non par vote formel : cela signifie que des gouvernements, dont celui du Royaume-Uni, ont donné leur accord sans passer par le peuple.
Ce traité vise à remédier aux échecs mis en lumière par la gestion de la COVID-19 par plusieurs pays.
Il énonce des engagements juridiques :
Partager échantillons de pathogènes & données génétiques (bonjour les fuites de labo)
Distribuer les vaccins de façon « équitable » (lisez " potentiellement obligatoire")
Renforcer la surveillance internationale (= dictature)
Faire respecter les mesures de l’OMS (sous peine de sanctions ?)
Développer des systèmes mondiaux de certification de santé numérique (le passeport vaccinal obligatoire pour voyager).
Vous risquez d’être fiché, où que vous soyez.
Si vous avez décidé de ne pas vous faire vacciner, vous risquez d’être "sur liste rouge" dans tous les États Membres de l'OMS. Pourrez-vous encore voyager ?
C'est le cauchemar qu'avait imaginé Orwell.
Cet accord ne se limite pas à la réponse aux pandémies : il s’appuie sur le cadre « One Health » de l’OMS, qui considère la santé humaine, animale et environnementale comme interdépendantes.
Les critiques (à juste titre) estiment que cela étend le mandat de l’OMS, lui permettant d’influencer les systèmes alimentaires, la politique climatique, l’agriculture et l’aménagement du territoire sous couvert de « prévention des pandémies ».
Si l’OMS ne peut pas supplanter les lois nationales, le traité crée des obligations internationales contraignantes.
Des gouvernements pourraient s’en servir pour justifier lois d’urgence ou pouvoirs de santé publique étendus, tout en invoquant la « coordination internationale ».
L’OMS n’est pas une institution démocratique : son Directeur général, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n’est pas élu par les citoyens, mais nommé via des négociations diplomatiques entre États membres.
Ses controverses passées, notamment sur la gestion initiale de la COVID-19 et ses liens avec la Chine, ont renforcé les doutes quant à son impartialité.
L’OMS a de sérieux conflits d’intérêts
Les principaux bailleurs de fonds de l’OMS ne sont pas majoritairement des gouvernements. En 2023, ses plus gros contributeurs étaient :
Fondation Bill & Melinda Gates
Alliance GAVI
UNICEF
Commission européenne
Autrement dit, des fondations PRIVÉES influencent voire définissent les priorités de santé MONDIALE.
Est-ce raisonnable ?
Est-ce souhaitable ?
Permettez-moi de penser tout le contraire !
En prévision : un système de partage de virus entre pays qui pose problème
Parmi les dispositions les plus controversées figure la mise en place d’un système d’Accès aux Pathogènes et de Partage des Avantages (PABS).
Ce système permettrait à l’OMS d’obtenir des échantillons de pathogènes de n’importe quel pays et de redistribuer des produits pharmaceutiques selon un cadre « équitable » — au risque de contourner les chaînes nationales d’approvisionnement en vaccins.
Le traité encourage aussi l’adoption de systèmes numériques de documentation sanitaire, susceptibles d’évoluer vers des identifiants numériques permanents liés à la vaccination ou à l’état de santé.
Dit clairement : si à l’avenir vous voulez voyager, il vous faudra un passeport vaccinal à jour, validé par les autorités. Sinon, vous resterez confiné chez vous !
Plusieurs pays ont osé dire NON, mais cela n’a rien changé
Plusieurs pays se sont abstenus ou ont objecté durant la phase de négociation : Pologne, Russie, Italie, Iran et Slovaquie.
Leurs préoccupations : perte de souveraineté nationale, manque de clarté juridique et risque d’imposition de politiques par des instances non élues.
Au Royaume-Uni, il n’y a pratiquement eu aucun débat parlementaire sur ce traité, aucun communiqué officiel du Premier ministre ou du ministre de la Santé : malgré ses conséquences à long terme, le gouvernement est resté discret, sans jamais consulter la population.
Les États-Unis ont simplement refusé de participer au débat, depuis qu’ils ont annoncé leur retrait de l’OMS.
Tandis qu’en France…
Le Président Macron fanfaronne à l’ONU
Par contre, Emmanuel Macron, lui, se félicite de la signature de ce traité :
"En adoptant cet accord, nous portons une conviction forte : protéger la santé des populations" (ONU, Genève mai 2025)
Si vous voulez protéger les populations, pourquoi ne pas commencer par vous occuper des victimes des vaccins du COVID-19, à tout hasard ?
Vous l’aurez compris, ce projet pandémique est la porte ouverte à un système de contrôle de la santé mondiale.
Autrement dit, la promesse de revivre le fiasco des mesures sanitaires du COVID… en bien, BIEN PIRE !
Alors avant de tomber dans l’heure la plus sombre de notre Histoire moderne, essayons de faire pression sur nos gouvernants.
Tout ce que je vous demande, c’est de signer la pétition ci-dessous :
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