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« Le virus de la Covid-19 n'est pas La Gazette du Tocsin du lundi 26 mai
Ce matin sur Tocsin : Didier Raoult revient sur les origines du virus de la Covid, Nicole Delépine témoigne de son expérience de médecin vis-à-vis de la loi sur l'aide active à mourir et les paysans et les taxis s'unissent pour amorcer une nouvelle révolte sociale. Vous avez manqué la matinale ? La gazette est là pour faire le point. « Des virus fabriqués en laboratoire, à l’heure actuelle, on ne sait toujours pas faire. » Le professeur Raoult livre ses vérités sur les épidémies, passées et présentes. | | « Il y a les gens qui font, et les gens qui prétendent savoir en ne faisant rien. ». Voilà ce qu’a martelé Didier Raoult au micro de Tocsin ce matin, et qui peut être tenu pour le fil rouge de son interview. Car bien plus que pour réagir à la seule activité liée au Covid 19, le Professeur venait présenter ce matin un ouvrage sur les autres travaux importants de sa vie de chercheur. Des soldats napoléoniens morts en Russie aux épidémies de syphilis, de peste noire, et de grippe espagnole, le microbiologiste a étudié nombre de cas qui permettent de retracer une histoire à peu près globale des principales épidémies mondiales. Cela ne l’a bien sûr pas empêché de dire un mot de la dernière pandémie en date et du débat autour de ses origines. Et malgré les récentes nouveautés autour des possibles origines humaines du virus de la Covid-19, appuyées par les propos de Naomi Wolf tenus sur nos antennes il y a trois semaines, Didier Raoult ne se dit pas du tout convaincu par cette hypothèse. « À Wuhan il y a bien sûr un laboratoire P4, mais il y a surtout quelque chose de beaucoup plus dangereux, qui est le premier marché d’animaux sauvages de Chine. Les dernières études en dates pensent que ce sont des mustélidés qui ont servi d’intermédiaire entre le virus et l’homme. », argue celui-ci. Enfin, interrogé sur le traité pandémie de l’OMS, il n’en fait pas davantage de cas que Jean-Dominique Michel jeudi dernier sur nos mêmes ondes. « L’OMS s’est déshonorée pendant la crise sanitaire, et pas seulement en Amérique. En Afrique également, où elle a expliqué aux Africains que l’hydroxychloroquine était un produit dangereux alors qu’ils en prenaient tous depuis des décennies. ». Un professeur comme à son habitude : toujours dans le détail, jamais dans la dentelle. |
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