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dans cette décision de Justice. » La Gazette du Tocsin du mardi 1er avril
Ce matin sur Tocsin : Ghislain Benhessa, Régis de Castelnau et Jérôme Sainte-Marie s'insurgent contre l'inéligibilité de Marine Le Pen, l'ex-ambassadeur de Russie en France Vladimir Orlov livre son regard sur les négociations de paix en cours, et AuBonTouite présente sa nouvelle BD complotiste qui relate les aventures de Trognon, Macaron et Zakouski.
Vous avez manqué la matinale ? La gazette est là pour faire le point.
« L’Etat de droit vient de se tirer une balle dans le pied. » Ghislain Benhessa, Régis de Castelnau, Jérôme Sainte-Marie et Bruno Gollnisch tirent les leçons du séisme politique qu’a provoqué la condamnation d’inéligibilité de Marine Le Pen. | | Une idée ressort de cette émission : il n’est pas nécessaire d’être un fervent soutien de Marine Le Pen (témoins Ghislain Benhessa et Régis de Castelnau) pour se trouver scandalisé de ce jugement dont le caractère politique ne fait pas débat. L’État de droit, l’État profond, le gouvernement des juges, appelons-le comme nous le voulons, a décrété, ce lundi 31 mars 2025, qu’il pouvait décider à la place du peuple, ou du moins, à la place de 37% des électeurs (selon les derniers sondages en vigueur). Enfreignant les principes du droit, appuyant sa sentence sur des lois qui n’existaient pas au moment des faits, préjugeant de la mauvaise foi des inculpés pour la seule raison qu’ils souhaitaient se défendre, la juge Bénédicte de Perthuis, admiratrice d’Eva Joly, a interféré de manière historique dans la vie démocratique française. Si nos invités membres du Rassemblement National ont réaffirmé leur envie de se battre politiquement jusqu’au bout pour permettre à leur présidente de candidater à l’élection présidentielle, ils n’ont pas non plus caché leur pessimisme quant à l’issue de cette lutte. La question est plutôt de savoir si à l’heure actuelle, une reprise du pouvoir par le peuple est possible par une voie institutionnelle et pacifique, ou si la caste, accrochée à ses lustres comme une moule à son rocher ne s’en ira que si des moyens plus hétérodoxes sont employés. « J’espère que nous ne vivrons pas de choses trop tragiques. », conclut sobrement, Régis de Castelnau. |
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