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jeudi 1 août 2024
Violences sexuelles dans l’athlé, retour sur le moment « Ah ! ça ira » de la cérémonie d’ouverture des JO, Venezuela… Au sommaire de Mediapart ce jeudi 1er août 2024
Après avoir dénoncé les violences sexuelles subies dans le cadre de sa formation, notamment de la part du coureur Jimmy Gressier, en lice aux JO, Claire Palou a abandonné l’athlétisme. L’ancienne spécialiste du demi-fond pointe l’incurie des instances face à un problème systémique.
Réminiscence de la Révolution française de 1789, l’exceptionnel moment « Ah ! ça ira ! » de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris raconte la promesse d’égalité d’une France tissée du monde. Retour sur ce présent du passé à l’heure des périls.
Alors que la présence policière massive lors des Jeux dissuade les personnes en situation irrégulière de se déplacer, Médecins du monde a mis en place une maraude sanitaire pour toucher les habitants des campements non démantelés avant la compétition.
Une grande partie de la communauté internationale continue de faire pression pour la publication des procès-verbaux de la présidentielle. Alors que les mobilisations et arrestations se poursuivent, le Brésil et la Colombie, en particulier, jouent un rôle clé pour esquisser une sortie de crise.
Au-delà du changement de pied inattendu de la diplomatie française sur le Sahara occidental, c’est le futur de deux traités commerciaux conclus entre l’UE et le Maroc qui focalise l’attention à Bruxelles alors qu’une nouvelle Commission doit se mettre en place à l’automne.
Alors que la France traverse un épisode de canicule, les moyens continuent de manquer face aux vagues de chaleur qui se succèdent, et tuent de plus en plus chaque été chez les personnes âgées, les mal-logés, les sans-abri et jusqu’aux travailleurs.
En 1976, le jeune plongeur soviétique Sergey Nemtsanov demande l’asile au Canada, où se déroulent les Jeux olympiques. Il renonce finalement deux semaines plus tard, après avoir déclenché un incident diplomatique en pleine période de détente entre les pays occidentaux et l’URSS.
Dans le cadre de la mobilisation contre les mégabassines dans le Poitou, nous avons constitué un convoi vélo au départ de Toulouse. Ceci est le récit, dans sa version abrégée, de la filature policière dont nous avons fait l'objet dès notre départ. Version longue disponible à la fin de cet article.
Epineuse question que celle-ci : où commence et s’arrête la liberté d’expression ? Toutes les idées se valent-elles ? Doit-on interdire toute parole d’extrême droite ? Ou les combattre par le débat ? Tentative d’analyse. Par Edwin Malboeuf
Les commentaires au sujet de Imane Khelif révèlent, s'il le fallait encore, une obsession des sociétés modernes : l'homme doit se présenter avec les attributs de la virilité et la femme, ceux de la douceur. Ces discussions seraient absurdes s'il n'y avait pas de la haine, de l'appel au meurtre et du suicide en bout de chaîne. Jusqu'à quand ?
Que le président ne pense pas que le spectacle des jeux nous fasse oublier sa responsabilité première : nommer un-e Premier-e ministre pour que le nouveau gouvernement puisse répondre aux besoins de celles et ceux qui ont toutes raisons de se sentir rejetés, méprisés, niés. de l’approche des JO n’avait pas compté.
Plusieurs journalistes ou militants des droits humains, tous critiques du régime marocain, ont été graciés par le roi du Maroc. Pour Omar Radi, Soulaimane Raissouni, Taoufik Bouachrine, Imad Stitou, Hicham Mansouri, Maâti Monjib et Saïda El Alami, notre soulagement est immense.
Depuis quelques jours, nous assistons à une tempête médiatique suite à l'octroi de la mention « Mort pour la France » pour six ex-prisonniers de guerre assassinés à Thiaroye par l'armée française. Un décryptage me paraît indispensable.
Les crimes sur Gaza au mois de juillet se sont révélés des plus sordides et monstrueux, touchant des enfants déjà sans abris ni accès au soin ainsi que des femmes et des hommes au bord de la famine.165 journalistes Palestiniens tués à Gaza au 31 juillet 2024.
Le musée de la Grande Guerre à Meaux explore la portée et les singularités de la participation de l'Empire colonial français à la Première Guerre mondiale dans les multiples registres de l'engagement, des conséquences et des héritages, abordant l"histoire et les mémoires des anciennes colonies et territoires français par le biais de ces hommes venus combattre loin de chez eux.
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