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vendredi 28 juillet 2023
La Santé avec Santé Non Censurée - Raoult : pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il contre lui ?
La Santé
Chère lectrice, cher lecteur,
Le gouvernement s’est-il volontairement acharné sur le Pr Raoult afin de le faire taire ?
Avec la fin de la pandémie, certains médias prennent enfin du recul sur ce qui s’est produit durant ces deux années de folie sanitaire et commencent à questionner les décisions prises par le gouvernement durant cette période.
C’est notamment le cas de FranceSoir, qui a, certes, toujours pris le parti du Pr Raoult (et cela sans s’en cacher !), mais qui a le mérite de faire le point sur les attaques menées à l’encontre du scientifique…
Un battage médiatique et politique hors-normes, déployé pour faire taire un seul homme, et qui désormais interroge1.
2021, l’année où tout a basculé
Il faut dire qu’avant 2021, l’IHU-Méditerranée de Marseille, alors dirigé par le Pr Raoult, était plutôt vu comme un modèle à suivre pour le pays.
Le traitement proposé par le Pr Raoult et son équipe, composé d’hydroxychloroquine et azithromycine, avait été validé par une petite étude scientifique2.
Et, en visite officielle, le Président était aller jusqu'à déclarer publiquement :
“La bithérapie que propose le professeur Raoult, il faut qu'elle soit testée3.”
Ajoutant qu’il était "convaincu que l'infectiologue est un grand scientifique” et qu’il était “passionné par ce qu'il dit et ce qu'il explique4.”
Mais alors comment en sommes-nous arrivés à la situation actuelle ?
Il semblerait que l’étude publiée par The Lancet ait marqué le début de la descente aux enfers pour le Professeur.
En effet, il n’aura fallu que deux semaines à cette publication pour discréditer durablement l’hydroxychloroquine et l'azithromycine partout dans le monde.
Et pour cause !
L’étude concluait à une “mortalité de 18 % chez les patients traités par l'hydroxychloroquine seule et même 23,8 % chez ceux recevant en plus un macrolide [famille d’antibiotiques dont fait partie l'azithromycine, ndlr], contre 9,1 % dans le groupe contrôle5.”
Autrement dit, le protocole de traitement proposé par le Pr Raoult serait mortel une fois sur quatre !
Quand bien même ces deux molécules sont utilisées en médecine depuis des années…
Bien évidemment, le gouvernement français ne pouvait pas prendre un tel risque et Olivier Véran, alors ministre de la Santé, demande l’interruption des essais cliniques6.
En parallèle, le monde scientifique commence à émettre des doutes sur la véracité des résultats de l’étude… au point que celle-ci est finalement retirée des plateformes.
Mais le mal est fait.
Et les études menées en France sur la bithérapie ne reprennent pas, quand bien même la fraude entourant l’étude du Lancet est désormais clairement reconnue7.
Fidèle à son fort caractère, le Pr Raoult ne lâche pas le morceau… s’attirant l’ire du gouvernement dont il conteste la sacro-sainte parole.
Pourtant, n’est-ce pas là ce qu’on attend d’un scientifique ? d’un universitaire ? Trouver des solutions, contester les résultats obtenus, chercher le meilleur traitement ?
Oui… Mais non apparemment…
Ou du moins il faut veiller à le faire, sans le crier trop fort sur les toits.
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Suite de la lettre de ce jour :
De professeur émérite à roi des complotistes
Quoiqu’il en soit, après le scandale du Lancet, l’étau se resserre autour des études scientifiques.
Dans un souci de véracité et de fiabilité scientifique, les autorités sanitaires réclament alors toujours plus de méthodologie… terrain de jeu favori des grandes entreprises pharmaceutiques, largement financées8.
L’idée d’utiliser l’hydroxychloroquine est, quant à elle, définitivement enterrée et le Pr Raoult est devenu un élément perturbateur, dérangeant, à mettre sous contrôle.
Seul hic, il se base sur un bilan clinique spectaculaire pour appuyer son discours : il semblerait qu’on meurt effectivement beaucoup moins du Covid dans l'établissement du Pr Raoult que partout ailleurs en France9-10 !!
Didier Raoult passe donc entre les mailles du filet de la censure, du moins selon ses dires11.
En juin 2021 toujours, François Crémieux est nommé à la tête de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), devenant par là-même le nouveau patron du Pr Raoult12.
Le scientifique arrive gentiment à l’âge de la retraite et son nouveau responsable ne cache pas son désir de tourner cette page de l’IHU, d’autant plus que les deux hommes ne s’entendent pas sur de nombreux points… dont la vaccination anti-Covid13.
De manière quasiment simultanée, Didier Raoult est poussé vers la retraite à la fin du mois d’août, tandis qu’à la mi-septembre, une procédure de recrutement est lancée afin de lui trouver un remplaçant à la tête de l’IHU14-15.
L’hôpital étant sous le feu des projecteurs, il devient urgent d’éliminer la menace que constitue désormais le professeur rebelle.
Et le gouvernement ne se fait pas prier, puisqu’en novembre, Oliver Véran demande à l’IGAS (Inspection générale des Affaires sociales) de réaliser une mission de contrôle de l’IHU16.
Autrement dit, de vérifier le travail du Pr Raoult et de ses équipes.
Coup sur coup, l’été 2022 voit la publication du rapport de l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament) et celui de l’IGAS.
La première accusant “l’IHU de s’être affranchi pendant des années de multiples règles pour mener des recherches sur des patients17” et ce, déjà bien avant la pandémie.
La deuxième enfonçant encore davantage le clou en “pointant des dérives médicales et scientifiques, mais aussi managériales, qui pourraient relever d'une qualification pénale18.”
A peine a-t-il quitté la direction de l’IHU que le Professeur Raoult continue à être sous le feu des critiques.
Et cela continue encore aujourd’hui…
Procédures pénales, censure…
A la moindre prise de parole, Didier Raoult est systématiquement attaqué d’une manière ou d’une autre.
A croire que cela n’aura pas de cesse tant qu’il n’aura pas reconnu publiquement s’être trompé dans son jugement concerné l’hydroxychloroquine.
Mais pendant ce temps, ce même gouvernement qui l’accable se remet-il en question ?
Je ne suis ni médecin, ni scientifique.
Je ne peux donc pas dire qui des autorités ou de Raoult a eu raison dans son choix de traitement contre le Covid.
Néanmoins, ce que je remarque, c’est qu’il n’y en a qu’un seul des deux qui est constamment censuré et obligé de se remettre en question.
En s’acharnant ainsi sur de telles personnalités médicales, le gouvernement ne cherche-t-il pas plutôt à détourner notre attention d’une autre question plus dérangeante, qui est celle de sa gestion de la pandémie ?
Prenez soin de vous,
Mellie de Santé Non Censurée
P.S. : Que pensez-vous des diverses procédures lancées par le gouvernement à l’encontre du Pr Raoult ? Votre avis m’intéresse, cliquez ICI pour me laisser votre réponse.
Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’ éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
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