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vendredi 31 mars 2023

MEDIAPART - Défendre l’écologie = danger de mort

 

La lettre nouveautés de Mediapart
Défendre l’écologie
= danger de mort
Le mouvement social pour l’eau qui se lève n’est pas une mobilisation environnementale comme les autres : il manifeste une prise de conscience écologique qui va bien au-delà des réseaux militants habituels, tant l’eau est le sang vital de notre planète.

La répression inouïe rencontrée à Sainte-Soline ne relève pas seulement de la fuite en avant autoritaire d’une présidence prête à brutaliser la démocratie pour imposer son bon vouloir. Elle s’inscrit dans la longue durée de l’aveuglement sur les urgences écologiques de pouvoirs et de gouvernants français qui n’ont cessé de diaboliser, criminaliser et violenter les prises de conscience, les engagements et les mobilisations que suscitaient ces défis vitaux pour le tout-vivant du monde et le futur de ses espèces, dont la nôtre. 
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Mégabassines, la guerre de l’eau  
La lutte contre les réservoirs d’eau artificiels à destination agricole ne cesse de monter en puissance. Le mouvement a mis en lumière l’accaparement d’une ressource au profit de quelques-uns, mais fait l’objet d’une vive répression. Nos articles, révélations et reportages à retrouver dans notre dossier.
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Ce manifestant de 32 ans, touché à la tête lors de la manifestation anti-bassine du 25 mars, se trouve toujours entre la vie et la mort. Mediapart a pu reconstituer son itinéraire et son évacuation tardive par les secours, sur la base des témoignages de ceux qui l’ont pris en charge et des éléments rendus publics par les autorités.
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Le jour même puis après la manifestation contre les mégabassines dans les Deux-Sèvres du samedi 25 mars, les ministres chargés de l’écologie et de l’agriculture ont défendu dans les médias la nécessité de multiplier ces infrastructures. Pour ce faire, ils ont égrainé sans complexe nombre d’approximations mensongères. Décryptage.
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S’il fallait une seule preuve de la justesse de la cause écologiste, le déchaînement répressif à son égard l’apporte de façon récurrente. De Creys-Malville à Sainte-Soline, en passant par Auckland et Sivens, ses martyrs se dressent contre ses fossoyeurs français, tenants d’un capitalisme du désastre qui fait le lit du carbofascisme.
 
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La rhétorique sur les « extrêmes qui se rejoignent » a désormais laissé place à pire : une inconséquente diabolisation de l’ensemble de la gauche, fondée sur une relativisation des violences en provenance de l’extrême droite. Celle-ci est sciemment respectabilisée.
 
En une semaine, le ministre de l’intérieur a multiplié les déclarations péremptoires... mais fausses, qu’il s’agisse du profil des « casseurs » dans les manifestations, des BRAV-M, des munitions tirées à Sainte-Soline ou des secours empêchés sur place. Le Conseil d’État vient de qualifier un de ses propos d’« erroné ».
 
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