Translate

jeudi 28 novembre 2019

Critique du Film et Argumentaire contre la déprogrammation du film J'accuse le 28.11.2019



[Rézo Citoyen des Deux Sèvres]

 Critique du Film et Argumentaire contre la déprogrammation du film J'accuse

Bonjour,

Le film "J'accuse" de Polanski/ le point de vue de la LDH en détails et précisions

En résumé:
Le principe français est que chaque oeuvre/spectacle à le droit d'être présentée et accessible librement au public sous réserve
d'une décision de justice l'interdisant...Pas de censure préalable et la liberté de critiquer toute oeuvre artistique.
Bien évidemment celà ne contredit en rien le droit de dénoncer les violences faites aux femmes en particulier dans les professions liées au cinéma.
Et de réclamer des mesures d'urgence pour que cessent les féminicides en France.

Une critique du film J'accuse de Polanski:
«J’accuse»: une fiction réussie au récit imaginaire

Dommage qu’un film aux qualités cinématographiques indéniables, présenté comme un récit de l’affaire Dreyfus,
s’inspire pour son personnage central d’un officier antisémite qui est resté ancré dans ses préjugés et, devenu ministre,
obligea Dreyfus à quitter l’armée. Et écarte les dreyfusards qui, comme Victor Basch, furent à l’origine alors d’un engagement
universaliste pour les droits de l’homme.

L'argumentaire contre la déprogrammation du film J'accuse

Argumentaire contre la déprogrammation des films
Suite à la déprogrammation du film J'accuse de plusieurs cinémas, vous trouverez ci-joint un argumentaire contre la déprogrammation de films, réalisé par Agnès Tricoire et Daniel Véron, responsables de l'Observatoire de la liberté de création.
Cet argumentaire s'appuie sur la loi n° 2016-925 du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine.
Prenez connaissance de ce document afin de défendre la liberté de création et faites le circuler très largement dans et hors de nos organisations.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire