Mise en place à la demande du président de la République, la première phase des Etats généraux de l’alimentation se termine aujourd’hui. C’est le moment que choisit Michel-Edouard Leclerc pour dénoncer un risque de hausse des prix alimentaires de 5 à 15%. Mais quelle est aujourd’hui la part de connivence entre Leclerc et Macron, sachant que le second avait, en 2008, rédigé le rapport de la Commission Attali afin de faire voter la loi que voulait le premier pour piller les paysans ?
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