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Nouailhac - Un vent mauvais s'est levé pour Emmanuel Macron
Turbulences, cafouillages et premiers conflits… Pour Emmanuel Macron, les problèmes et les ennuis se sont accumulés cette fin de juillet. Récit d'une folle semaine.
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Pendant la onzième semaine qui a suivi son accession à l'Élysée, 77 jours après avoir serré la main du président sortant, Emmanuel Macron s'est trouvé confronté à un monceau de problèmes, dont certains auraient pu être évités. Une lourde séquence avec, comme un symbole, dans le baromètre Ipsos/Le Point du 26 juillet, une sinistre augmentation de 15 points d'opinions défavorables qui atteignent désormais 42 %, autant que les opinions favorables (- 3 points). Attention, danger !
Par comparaison, à la même date en 2007, Nicolas Sarkozy avait été crédité de 66 % d'opinions favorables, et François Hollande de 56 % en 2012. Pour le nouveau président, il est clair que le scénario catastrophe du départ du général de Villiers, humilié en public devant ses armées, n'a pas fini d'avoir des conséquences dommageables : on n'avait encore jamais vu un nouveau président aussi bas pendant les cent premiers jours de son quinquennat ! On n'avait jamais vu non plus le « dégagement » express, pour des motifs de probité publique, de trois ministres, dont le ministre d'État chargé justement de mettre en musique une nouvelle loi consacrée à la moralisation de la vie publique.
Amateurisme sidérant
C'est dans un tel climat qu'on a pu observer les nouveaux députés macroniens balbutier leur partition à l'Assemblée nationale. On a même assisté, à la tribune, aux errements d'une vice-présidente LREM qui n'avait pas le vice de la fonction, tant s'en faut, face à une telle assemblée de conscrits. Le responsable de son groupe, Richard Ferrand, ancien ministre éjecté comme les trois précédents pour des raisons similaires, ne l'avait sans doute pas suffisamment briefée.
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