Quelques commentaires que je partage BV
<<Il ne surprend pas, il désole !>>
<<Oui, petit dictateur aussi.>>
<<Le déclin Macron En Marche !>>
<<C'est simple, avant la révolution, il y avait un Roi de droit divin. Aujourd'hui il y a un Roi de loi du marché.
Le premier se prenait pour Dieu, le second se prend pour Mammon.>>
<<Ce qui me désole c'est surtout tous ses soutiens et ces députés "jeunes et dynamiques" qui à jouer les robots se sont grillés politiquement aux yeux des français depuis le début et pour le restant de leurs carrières. Dans un futur proche, avoir eu l'étiquette EM sera considéré de fait comme marque d'absence de convictions politiques ^^>>
<<Ces journalistes pédants, qui veulent faire croire aux téléspectateurs qui sont au courant de quelque chose., seraient déjà bien conseillés de se mettre d'accord sur la terminologie. Utilisé indistinctement les termes autorité et autoritarisme fait montre de l'approximation de leurs idées. L'autorité est liée à la personalité, quelqu'un qui a de l'autorité s'impose naturellement, l'autoritarisme est le contraire, celui qui fait preuve de l'autoritarisme est quelqu'un qui s'impose en réprimant. Or Macron n'a pas d'autorité, il a prouvé dans l'affaire de Villiers où il est allé trop loin parce qu'il n'est pas sûr de lui, il en va de même pour son refus de donner des interviews. De plus s'affubler des adjectifs mégalomaniaques comme jupitérien et de dire ou faire dire que sa pensée est trop complexe pour s'exprimer dans un entretien fût-ce en tête à tête avec un journaliste relèverait de la psychiatrie chez un citoyen lambda. Quant à son libéralisme, il est biel et bien libéral, il n'y a pas de particularité française. Il est dictè par le Medef et il n'y a nul libéralisme politique chez lui, car si l'on veut transposer des éléments de l'état d'urgence dans la législation ordinaire, on n'est pas un libéral politique, on est liberticide. Ça a déjà eu lieu en Espagne pour imposer la loi du travail en 2012, on a voté en même temps la ley mordaza, loi muselière, pour faire taire l'opposition surtout syndicale. Donc Macron veut instaurer un régime autoritaire centrée sur sa personne avec un Parlament à ses ordres. Ce n'est pas encore une dictature, mais ça y ressemble.>>
<<Cette sorte de schizophrénie dont parle le docteur en sciences politiques, s’appelle incompétence, il n’a d’ailleurs pas le courage de son projet, parce qu’il a beau s’en ficher au plus haut point du sort du 99% de la population française, il a un besoin démesuré d’être aimé, voilà pourquoi.>>
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