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EN NORVEGIENNE Claude Monet, vers 1887.
Copie de la notice ad hoc, fondation Beyeler, Suisse. « L’œil du spectateur est attiré par trois dames en robes claires, portant des chapeaux aux couleurs vives, devant un épais rideau de feuillage vert. Les belles-filles de Monet, Germaine, Suzanne et Blanche Hoschedé, sont représentées ici en train de pêcher pendant une promenade en barque sur l’Epte. Ce type de barque, appelé une « Norvégienne » en raison du bois utilisé, était à la mode en France à la fin du XIXème siècle. Le spectateur semble observer la scène depuis une autre embarcation. Rien ne bouge. La barque est immobile sur la rivière, au point que même son reflet sur l’eau reste parfaitement net. Sous la surface, on reconnaît les formes serpentines des plantes aquatiques. C’était là, selon le témoignage de Monet dans les lettres qu’il écrit à ses amis, le motif le plus difficile à capturer. Le lieu de l’action reste indéterminé : les frontières entre le haut et le bas, entre le premier plan et l’arrière-plan, entre la réalité et l’illusion reflétée, se mêlent et se dissolvent ». |
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EN NORVEGIENNE
Claude Monet, vers 1887.
Copie de la notice ad hoc, fondation Beyeler, Suisse.
« L’œi...
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