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jeudi 28 janvier 2016

à lire sur Causeur , jeudi 28 janvier 2016


Démission de Christiane Taubira
Taubira : le clivage pour tous
Pascal Bories
La vérité sort de la bouche des enfants. « Taubira démissionne. Ce gouvernement perd son ultime vernis de gauche », a tweeté l’imbattable Clémentine Autain en apprenant le remplacement du Garde des Sceaux. « Vernis de gauche », on ne saurait mieux dire (l’ami Leroy parle d’« alibi de gauche », c’est kif-kif), puisque cette indépendantiste guyanaise qui a soutenu Edouard Balladur en 1993 n’a jamais été spécialement de gauche. D’ailleurs, chacun sait qu’on lui doit le fameux « séisme » du 21 avril 2002, lorsque sa candidature aux présidentielles a permis d’éliminer Lionel Jospin dès le premier tour, au profit de Jean-Marie Le Pen... Lire l'article

Qui connaît les idées économiques de Taubira ?
David Desgouilles
Christiane Taubira a donc continué à parler. Et a dû être contrainte de démissionner. Manuel Valls aurait sans doute souhaité son départ dès le 23 décembre dernier, comme il avait obtenu le scalp d’Arnaud Montebourg fin août 2014. François Hollande tardait à le lui offrir. Pourtant, la situation était intenable dès ce jour où elle annonça depuis l’étranger son opposition à la proposition présidentielle de constitutionnalisation de la déchéance de nationalité. Elle avait mangé publiquement son chapeau et nous avait demandé de circuler, prétextant qu’il n’y avait rien à voir..... Lire l'article
Taubira s’en va :
Une chance pour la France

Jérôme Leroy
C’était le meilleur des scénarios possibles. Pour quelques raisons simples. D’abord, la droite dure va être toute désorientée. Une seule tête de Guyanaise vous manque et tout est dépeuplé, et il n’y a rien de plus corrosif que la haine et le mépris sans emploi. Ca brûle l’intérieur. Il leur reste bien Najat, mais bon, ça ne va pas avoir le même goût...Lire l'article
Dans le reste de l'actualité

Hollande, mauvais gagnant ? Pas d’amalgame !
Jean-Paul Lilienfeld
Quand j’étais petit, j’étais premier. Et je voulais être le premier des premiers. Je voulais être président. Maintenant que je suis grand, je suis président ! Et maintenant que je suis président, je veux être re-président. Je veux être deuxième. Au premier tour. Comme ça, je serai premier. Au deuxième tour. Quand j’étais petit, il y avait un deuxième très célèbre : Raymond Poulidor. Les Français l’adoraient. C’était Jacques Anquetil qui gagnait toutes les courses cyclistes mais c’était Poulidor qui était populaire...  Lire l'article

Taxis: remettons les compteurs à zéro
Manuel Moreau
Cela fait plus de cinquante qu’une guerre des taxis fait rage. Ceux qui pratiquent ce métier souhaitent toujours en écarter les autres, en faisant appel à l’Etat et au législateur, sommés d’ériger des barrières (licences, formations, quotas, normes) pour les protéger. Or, le bon sens et l’intérêt général qu’on peut y trouver au début se transforment inéluctablement en abus de position dominante et en monopole...Lire l'article
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