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mardi 26 mai 2015

à lire sur Le Monde.fr , mardi 26 mai 2015


                             


MARDI 26 MAI 2015 
 
 La justice doit décider, mardi, si l'UMP peut se rebaptiser Les Républicains, comme le souhaite Nicolas Sarkozy. 
« Les Républicains » est-il un nom légal ?
 
La justice doit décider mardi si l’UMP peut se rebaptiser « Les Républicains », comme le souhaite Nicolas Sarkozy.
 
 
 
 Voies ferrées près de la gare de Bordeaux-Saint-Jean en novembre 2006. 
Les trains de nuit et des tronçons de ligne pourraient être supprimés
 
Un rapport, remis mardi 26 mai au gouvernement, et dévoilé par « Le Parisien-Aujourd’hui en France », critique sévèrement l’état du réseau Intercités.
 
 
 
 Des combattants de l'Etat islamique dans leur fief syrien de Rakka. 
Etats-Unis, Irak et Iran s'accusent d'avoir échoué dans la lutte contre l'EI
 
Le vice-président américain a appelé le premier ministre irakien, après les critiques formulées par le secrétaire à la défense dimanche.
 
 
 
 Rafael Nadal. 
J3 – Pas de panique Quentin, ça n’est que Rafael Nadal en face
 
Le n°7 mondial entre en lice aujourd'hui face au n°296, Quentin Halys.
 
 
 
 La légende du blues B. B. King en concert dans le Mississippi en 2012. 
Deux filles de B. B. King estiment qu’il a été empoisonné
 
Les enfants de la légende du blues accusent, une nouvelle fois, sa manager de mauvais traitement envers leur père.
 
 
 
 Benoît Hamon, député PS des Yvelines, porte trois amendements pour la reconnaissance du burn-out comme maladie professionnelle.  
La reconnaissance du « burn-out » en discussion à l'Assemblée nationale
 
Certains élus, dont Benoît Hamon, veulent faire reconnaître « l'effondrement au travail » comme maladie professionnelle.
 
 
 
 
En images
Affiches en faveur du mariage gay en Irlande, jeudi 21 mai.
 
Mariage gay : l'Eglise irlandaise doit faire sa révolution copernicienne
Après l'ample victoire du oui au référendum sur le mariage homosexuel en Irlande, l'Eglise se sent désavouée.
 
L’Allemagne remporte la coupe d’Europe de bûcheronnage
 
A Bruxelles, un an après, hommage aux victimes du Musée juif
 
Rafael Nadal en 60 secondes
 
Inde : à Bangalore, un lac si pollué qu'il prend feu
 
 
 
 
 
 Et aussi 
 
 Portrait du ministre du Travail, Francois Rebsamen, au ministère. Paris, le 22 mai 2015. 
La loi Rebsamen, quand l’art de la synthèse produit un texte fourre-tout
 
L’Assemblée nationale examine à partir de mardi le projet de loi sur le dialogue social.
 
 
 
 L'ancien trader Tom Hayes à Londres le 21 octobre 2013. 
Scandale du Libor : un trader devant la justice
 
Le procès de Tom Hayes, un ancien courtier de Citigroup et d’UBS, accusé d’être au cœur des manipulations de taux, débute mardi à Londres.
 
 
 
 Les locaux à New York de Time Warner Cable Inc, deuxième du secteur après Comcast . 
Charter proche d’un accord de rachat de Time Warner Cable
 
Aux Etats-Unis, le secteur du câble est en pleine effervescence. La concurrence d'Internet et l'inflation du prix des contenus poussent à la concentration.
 
 
  
 | LE JOURNAL DATÉ DU 26 MAI
 
 
« Dancers » : dans les pas de Lukas, Syvert et Torgeir
 
Suivant trois apprentis danseurs, le documentariste Kenneth Elvebakk fait un tableau souriant, mais incomplet, de l’univers du ballet.
 Lire le journal
 
 Un Airbus A380 atterrit à l'aéroport John F. Kennedy à New York. 
Un avion d’Air France escorté par deux chasseurs américains après une menace à la bombe
 
Le vol AF 22 a fait l’objet de menaces anonymes reçues par appel téléphonique peu avant son atterrissage.
 
 
 
 L'entraîneur du Real Madrid Carlos Ancelotti a été limogé le 25 mai. 
Le Real Madrid limoge son entraîneur Carlo Ancelotti
 
Le nom de son successeur sera connu la semaine prochaine.
 
 
 
 Paul Raoult, samedi 23 mai, à Reims. 
Crise à la FCPE et cinglant désaveu de son président
 
Paul Raoult n’a pas été reconduit au congrès de l’association de parents d’élèves, un cas sans précédent depuis 1947.
 
 
 

La Grèce pourra-t-elle s'acquitter de ses dettes ?
Le gouvernement grec a affiché lundi sa volonté de rembourser tous ses créanciers, dont 300 millions d'euros au FMI le 5 juin, sans toutefois confirmer pouvoir le faire si le déblocage d'une tranche de prêts n'intervenait pas à temps. La Grèce, qui a déjà eu recours à un fonds d'urgence pour payer les 750 millions d'euros du FMI en mai, doit envoyer à l'institution de Washington les 5, 12, 16 et 19 juin, un total de 1,574 milliard d'euros. Les négociations au niveau technique entre Athènes et les créanciers doivent reprendre mardi à Bruxelles avec pour objectif un accord "fin mai, début juin", selon le porte-parole du gouvernement grec, Gabriel Sakellaridis, sur le versement de tout ou partie de 7,2 milliards de prêts entrant dans le cadre du deuxième plan d'assistance internationale au pays en cours depuis 2012. Dans une note sur le site d'opinions Project Syndicate, le ministre des finances grec, Yanis Varoufakis, explique que, si les négociations traînent, c'est parce que "les créanciers insistent sur une austérité plus forte encore pour cette année et au-delà". Or, indique-t-il, "notre gouvernement ne peut pas, et ne veut pas, accepter un remède qui a démontré depuis cinq longues années qu'il était pire que le mal". Selon lui, le gouvernement grec est par ailleurs prêt accepter toutes les réformes voulues par les créanciers. Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI, a indiqué aux Echos que le Fonds était "flexible sur ce qu'Athènes doit faire dès lors qu'un programme cohérent est présenté in fine", avec "des mesures crédibles pour transformer le déficit  budgétaire (...) en surplus et maintenir ce surplus dans l'avenir". Mais "au vu de ce qui est proposé pour l'heure, on en est encore assez loin", a-t-il lancé, citant le système de retraites"trop généreux", sur lequel Athènes ne souhaite pourtant pas bouger, ou le nombre excessif de fonctionnaires. Réunis jeudi et vendredi à Dresde en Allemagne, les grands argentiers du G7 seront accaparés par le dossier grec. 

Croisade contre les ONG "indésirables" en Russie
L'étau se resserre et, avec lui, la marge de manœuvre de ceux que le Kremlin considère, au mieux comme des trouble-fête, au pire comme de dangereux agitateurs. Faisant fi des objurgations de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), le président russe, Vladimir Poutine, vient de promulguer une loi permettant aux autorités d'interdire les organisations non gouvernementales étrangères installées dans le pays pour peu que celles-ci soient jugées "indésirables", relate la BBC. Préalablement approuvée par les deux chambres du Parlement – la Douma et le Conseil de la Fédération –, cette loi est censée s'appliquer dès lors que la défense et la sécurité nationales sont en péril. Les promoteurs du texte, en vertu duquel les membres desdites ONG pourraient se voir infliger jusqu'à six ans de prison, affirment qu'il est nécessaire pour empêcher les "organisations destructrices" de menacer l'Etat – sous-entendu en fomentant des "révolutions de couleur" comme en Géorgie (2003), en Ukraine (2004) ou au Kirghizistan (2005). Ses contempteurs, eux, assurent qu'il s'inscrit dans le cadre d'une politique destinée à mettre sous l'éteignoir toute forme d'opposition et à restreindre un peu plus les libertés fondamentales (CNN). Les associations de défense des droits de l'homme – Human Rights Watch et Amnesty International en tête – ont d'ailleurs dénoncé une volonté d'asphyxier la société civile, rapportentThe Independent et The Daily Telegraph. Dans ce contexte, rendu encore plus délicat par la crise ukrainienne, les Etats-Unis se sont dits "profondément troublés" par ce qu'ils perçoivent comme une tentative d'"isoler le peuple russe du reste du monde", observent Voice of America et Radio Free Europe. Dans The Moscow Times, l'Unfair Observer – nom de plume d'un journaliste invité à s'exprimer sur l'actualité russe – ironise : "Ce serait amusant si quelqu'un d'autre arrivait au pouvoir et déclarait tous ceux qui ont voté cette loi... indésirables." 

Les internautes aux couleurs de la COP21
La 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21) se déroulera à Paris du 30 novembre au 11 décembre. L'objectif principal de ce sommet planétaire, qui réunira 195 Etats, est de parvenir à un accord global juridiquement contraignant qui permette de limiter les changements climatiques en cours à une hausse de la température de deux degrés par rapport à l'époque préindustrielle. Un rendez-vous crucial pour la France, qui présidera cet événement et entend d'ici là sensibiliser les citoyens par différents moyens, notamment sur
la Toile. Outre la COP21, qui possède son logo officiel, différents visuels sont mis
à disposition du plus grand nombre pour tous les usages, mais selon certaines modalités. A cette occasion, les internautes sont invités à voter en ligne pour choisir le timbre officiel de l'événement. Cinq visuels en lice ont été sélectionnés parmi une trentaine de créations proposées par les étudiants de l'Ecole supérieure d'art et de design de Saint-Etienne. Les candidats seront soumis au vote d'un jury de personnalités issues des secteurs économique, artistique, sportif, etc. Les votes des internautes et les notes décernées par le jury compteront chacun pour 50 % dans la note finale, qui permettra de désigner la création gagnante. Les internautes ont jusqu'à ce soir, minuit, pour voter grâce à une application surFacebook. Le timbre, "éco-conçu" et de forme ronde – comme la planète – sera imprimé à environ un million d'exemplaires. Il sera disponible et mis en vente en novembre, juste avant l'ouverture de la COP21.

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