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jeudi 28 mars 2024

La Santé avec Alertes santé - 3 ans après, l’enquête confirme que le vaccin AstraZeneca a tué un étudiant

 La Santé 


 

3 ans après, l’enquête confirme que le vaccin AstraZeneca a tué un étudiant

 

Chère amie, cher ami,

Anthony Rio était étudiant en 6e année de médecine. Il avait 24 ans. Il vivait à Nantes(1,2,3,4).

Le 8 mars 2021, il s’est fait administrer un vaccin ARNm contre le covid 19 du laboratoire AstraZeneca.

Il a ressenti d’emblée des frissons et des courbatures(1,2).

Il a pris du paracétamol pour se soigner.

Puis il a été pris de maux de ventre.

Il s’en est plaint à ses parents le 15 mars. Mais il a mis cela sur le compte du stress, car il venait de passer un examen blanc en distanciel.

Le 17 mars, il a pris rendez-vous avec un médecin. Il a eu sa mère au téléphone et lui a dit que ce n’était pas grave et de ne pas s'inquiéter.

Le 18 mars 2021, Anthony Rio est décédé.

Sa mère l’a appelé . Il n’a pas répondu.

Elle a quitté la Turballe, près de Guérande où elle habite puis est partie en voiture pour Nantes pour aller voir son fils(1,2).

Elle est arrivée en même temps que les pompiers. Ces derniers ont trouvé le corps de l’étudiant. Il était déjà sans vie.

Puis la police est arrivée, puis SOS médecins et un médecin légiste qui était aussi un professeur d’Anthony Rio.

Il a exigé une autopsie.

 

L’enquête médicale avance

 

La famille a porté plainte contre X. Leur avocat est Me Étienne Boittin.

Il a été chargé de 15 autres affaires semblables. Certaines ont été classées sans suite. Il en reste 8 autres(5,6).

Mais d’après l’avocat de la famille d’Anthony Rio, l’enquête semble indiquer que le lien entre le décès et la vaccination est établi.

Ce jeune adulte n’avait aucun problème de santé.

Sa mère aurait notamment dit à la presse :

“Anthony ne buvait pas, ne fumait pas. Il avait une vie saine, faisait du sport. Il n’y a aucune raison, autre que l’injection d’une dose du vaccin AstraZeneca, pouvant expliquer pourquoi il a perdu la vie.” (1,2)

Les médecins n’ont constaté aucune  pathologie bactérienne, ni de cancer, ni de maladie auto-immune.

Les analyses toxicologiques étaient négatives. L’étudiant n’avait ingéré aucune substance toxique ou nocive qui aurait pu lui être fatale.

Il était en parfaite santé.

Mais il  est décédé d’une thrombose veineuse abdominale l’un des effets secondaires connus du vaccin AstraZeneca.

 

Un lot défectueux ?

 

Si l’avocat de la famille est aussi affirmatif, c’est parce qu’il dispose d’informations spécifiques relatives au vaccin administré à l’étudiant.

Ce dernier appartenait au lot ABV 53 00(1,2).

Or ce même lot aurait été retiré en Autriche après le décès d’une infirmière de 49 ans d’une thrombose disséminée ainsi que l’hospitalisation d’urgence d’une autre personne pour une embolie pulmonaire.

L’Autriche aurait alors suspendu l’utilisation de ce lot du vaccin AstraZeneca sur son territoire.

D’autres pays européens ont fait de même, notamment l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie et le Luxembourg(1,2).

D’autres pays qui ont connu des décès semblables avec le vaccin AstraZeneca (mais avec d’autres lots) ont totalement suspendu son utilisation.

En France, les hôpitaux de Brest et de Morlaix avaient également suspendu l’utilisation de ce vaccin dès la mi-février 2021(1,2,3,4).

Si les autorités françaises s'étaient emparées d’emblée du problème et avaient dit la vérité, Anthony Rio aurait reçu un autre vaccin et serait encore en vie.

 

La réaction de l’Agence européenne du médicament

 

Le décès d’Anthony Rio a tout de suite été remonté aux autorités de santé.

Ce n’était pas le seul.

Le 16 mars 2021, 9 décès semblables avaient eu lieu en l’espace de quelques semaines sur l’ensemble du territoire européen(1,2).

L’Agence européenne du médicament a pris acte de ces effets secondaires qu’elle a reconnus(1,2).

Elle a ensuite estimé que le bénéfice de cette vaccination ARNm restait supérieur à ses inconvénients.

Mais elle a recommandé de vacciner avec ce vaccin les personnes de plus de 55 ans.

Il faut souligner le cynisme de ces autorités.

Car, évidemment, elles ont mis en avant le fait qu’il n’y avait qu’une dizaine de décès par rapport aux millions de doses distribuées.

Sauf que ces décès sont la partie visible de l’iceberg.

Combien d’autres personnes ont eu des effets secondaires graves non diagnostiqués ?

Combien parmi ces patients auront, à terme, des problèmes de santé liés à ces injections ?

Personne ne peut le savoir.

En revanche, on sait que les moins de 30 ans en bonne santé ne risquaient rien du covid 19(7,8).

On sait aussi que ce vaccin ne protégeait pas contre le covid 19.

Les autorités le savaient elles-mêmes puisqu’elles recommandaient de se faire administrer plusieurs doses pour espérer bénéficier d’une quelconque immunité(9).

In fine, elles ont concédé que ce vaccin ne protégeait que certaines personnes contre certaines formes graves du covid 19(10).

C’était un bénéfice bien maigre et bien aléatoire, surtout pour un vaccin capable de tuer de jeunes personnes en parfaite santé.

 

L’histoire des lots

 

Le fait que la justice s'attarde sur cette question de lots défectueux mérite d’être souligné.

Car au moment de la campagne de vaccination, plusieurs observateurs se sont demandés pourquoi certains lots causaient des effets secondaires et d’autres pas(11).

L’hypothèse qui avait alors été formulée était que tous les lots ne contenaient pas la même chose(11).

En clair, il y aurait eu des lots placébos et des lots contenant le vaccin.

La population occidentale aurait ainsi été soumise à une vaste étude expérimentale permettant de lancer une bonne fois pour toutes l’utilisation des vaccins à ARNm.

Les médias avaient combattu fermement cette thèse(11).

Ceux qui s’étonnaient de voir que le temps de fabrication des vaccins était si rapide auraient ainsi une réponse à leur question(12).

Car les fabricants n’ont pas vraiment pris le temps d’effectuer des études à grande échelle avant que les vaccins ne soient temporairement utilisés.

La population vaccinée a servi de cobaye.

Et comme dans toutes les études, il peut y avoir des effets secondaires imprévus.

Sauf qu’Anthony Rio et ses parents, eux, ne savaient pas qu’ils servaient de cobayes à la science.

Ces procès vont-ils permettre de montrer à quel point les autorités de santé, autant que les laboratoires, ont menti à la population ?

Va-t-on voir des personnalités publiques condamnées ?

C’est peu probable.

Mais une fois de plus, on constate les limites d’un système sans garde-fous, où le pouvoir décide de tout pour tous et pour le bien de tous sans que personne n’ait plus le droit de réfléchir.

La vaccination est un acte médical.

Les effets secondaires existent.

Ils sont parfois très graves.

Cela est particulièrement vrai pour les vaccins ARNm.

Mais c’est une réalité qui touche n’importe quel acte médical.

Mes pensées vont évidemment d’abord à la famille de cet enfant sacrifié sur l’autel de la “guerre” contre le virus.

Naturellement vôtre,

Augustin de Livois

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