Peu d’académiques témoignent des pressions subies lorsqu’ils critiquent les politiques chinoises dans l’espace public. Ces menaces répétées, qui passent souvent inaperçues, font pourtant le lit de la censure et de l’autocensure. Il est donc plus que nécessaire de dénoncer ces mécanismes insidieux qui menacent directement la liberté académique dans nos universités. Par Vanessa Frangville |
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