Mardi 7 janvier 2025 Bonjour,Pour une fois, la surprise est venue du très policé monde politique suisse. Lundi, le président du Centre (ex-PDC, qu’il a justement contribué à rebaptiser) a annoncé son retrait au moment où personne ne l’attendait. Au Canada, la démission du premier ministre Justin Trudeau, elle, était devenue inéluctable. Dans ce Briefing, on se penche aussi sur la nouvelle affaire #MeToo qui agite Hollywood et le comportement peu commun d'une orque valeureuse. A la une: L’architecte de l’extrême centre s’en vaPETER SCHNEIDER / keystone-sda.ch Pourquoi c’est important: Il aura été «maître des horloges», son surnom, jusqu’au bout. Lundi, Gerhard Pfister, président du Centre, a annoncé son retrait pour juin. En neuf ans, le Zougois a fait disparaître la mention «démocrate chrétien» du nom du parti, a fusionné avec le dissident PBD et présenté un bilan électoral solide. «S’il n’arrêtait pas maintenant, il aurait presque été contraint de poursuivre jusqu’après les prochaines élections fédérales de 2027», glisse-t-on au sein du parti. Notre article Qui pour succéder au Père? Au sein du Centre, certains pensent qu’une succession latine serait bienvenue. Mais les papables romands auront de la peine. Nos spéculations De l’autre côté de l’Atlantique. Il est plus glamour, est resté en poste un peu plus longtemps que Gerhard Pfister, mais a été poussé au retrait. Le premier ministre canadien Justin Trudeau – maître, lui, des images et des émotions – a aussi annoncé sa démission lundi. Il restera en place jusqu’à ce qu’un successeur soit désigné, mais des élections législatives anticipées semblent inévitables. Notre article |
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