Éric Hazan n'aimait pas ce qu'il nommait un « communisme de caserne ». Son communisme à lui était libertaire. « Hacer por nostros mismos », disait-il en citant les zapatistes du Chiapas. Il était attentif à l’ « avènement d’obscurs » : des inconnus dans des comités, mandatés par le peuple révolté. Ces commencements, ces vies, femmes et hommes qui se lancent dans l'engagement. En hommage, quelques mots sur deux livres importants signés d'Éric Hazan, disparu le 6 juin. |
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