Lundi, j’irai en classe, le cœur gris, endeuillé, mais sans haine et sans crainte. Samuel, Dominique, comme vous nous manquez, comme vous nous manquerez. Mais je suis habituée désormais. Nous suivons l’enterrement de l’éducation nationale et de nos collègues, lentement, sûrement, les un·es après les autres... |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire