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lundi 24 janvier 2022
La santé avec Pure Santé - Sommeil : le rapport choc de la CIA
La santé
Chère lectrice, cher lecteur,
Un rapport déclassifié de la CIA a révélé des informations jusque-là secrètes sur le sommeil.
Si :
Vous avez des difficultés à vous endormir le soir…
Vous vous réveillez la nuit (sans arriver à vous rendormir)…
Vous avez de la peine à vous lever quand le réveil sonne (vous auriez voulu dormir plus longtemps)…
Vous manquez d’énergie et d’entrain durant la journée…
… Alors je vous conseille de lire attentivement le message ci-dessous.
Les révélations que vous découvrirez pourraient vous aider à retrouver enfin un sommeil régénérateur.
Amicalement,
Florent Cavaler
Subissez-vous cette méthode de torture de la CIA toutes les nuits ?
Chère lectrice, cher lecteur,
Le Sénat américain a déclassifié un rapport choquant de la CIA, classé top secret défense jusqu’en 2014.[1]
Ce compte-rendu détaille les techniques de torture employées par les renseignements américains après les attentats du 11 septembre.
Je préfère vous prévenir, ce n’est pas beau à voir.
Parmi les plus courantes, on trouve la simulation de noyade, les violences physiques, les agressions sexuelles ou encore la nudité forcée…
Mais les agents de la CIA utilisaient aussi une autre méthode cruelle, connue depuis l’Antiquité[2]…
Cette méthode de torture, vous la subissez peut-être vous aussi, chaque nuit, comme 1 Français sur 5[3].
À Guantanamo, ils sont prêts à dire n’importe quoi pour que ça s’arrête !
C’est la privation de sommeil.
Cela peut paraître un peu léger comme supplice, mais détrompez-vous…
Il s’agit en réalité de l’une des techniques les plus violentes connues à ce jour.
Ce n’est pas un hasard si les Américains l’utilisaient systématiquement sur les détenus de Guantanamo : « un détenu pouvait être réveillé, soumis à un interrogatoire puis renvoyé dans une cellule différente. Dès qu’il s’était rendormi, il était de nouveau réveillé puis renvoyé ailleurs. La même scène pouvait se répéter cinq ou six fois par nuit.[4] »
La vie des prisonniers devenait alors un enfer[5] :
Détérioration physique
Perte de repères cognitifs
Augmentation de la douleur
Plus grande sensibilité au froid ou au chaud
Ils finissaient presque toujours par craquer… et même par avouer des crimes qu’ils n’avaient pas commis dans l’espoir que cela cesse.
« Je leur disais ce que je pensais qu’ils voulaient entendre. Je mentais pour que les violences s’arrêtent», s’est confié un ancien détenu[6].
Mais ce qu’on oublie, c’est que ce supplice ne concerne pas seulement les prisonniers de Guantanamo…
13 millions de Français « torturés » dans leur lit…
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