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dimanche 2 janvier 2022
HISTOIRE et MEMOIRE avec RETRONEWS - dimanche 2 janvier 2022
HISTOIRE et MEMOIRE
Cette semaine sur RetroNews : Sept employés de pêche oubliés du monde sur un minuscule bout de terre dans l'océan Indien, un pourvoyeur d'armes à feu cynique à la Belle Époque et la vie misérable des habitants des terrains vagues parisiens.
— À la une cette semaine
ÉCHO DE PRESSE
• Un drame au milieu de nulle part : les oubliés de l'île Saint-Paul
C'est une tragédie survenue sur un minuscule morceau de France perdu dans l'Océan indien. Sur un rocher désertique, sept employés d'une société de pêche semblent avoir été « oubliés » par leur employeur.
Comment la presse, depuis trois siècles, nous raconte-t-elle les crimes, les marges, les faits divers ? Les historien(ne)s spécialistes de la question nous répondent dans Séries Noires à la Une, un podcast diffusé depuis janvier 2021. Retrouvez dès maintenant l'intégralité des épisodes !
Le Bonhomme Richard est un quotidien constitutionnaliste publié entre 1832 et 1833. On y trouvait des articles portant sur l’actualité, le commerce et la littérature. Son nom était un clin d’œil au livre de Benjamin Franklin L’Almanach du Bonhomme Richard, publié en 1732 sous le pseudonyme de Richard Saunders.
Basil Zaharoff, richissime « marchand de mort » de la Belle Époque
Le tortueux marchand d'armes Basil Zaharoff (1849-1936) fut l'un des hommes les plus riches du monde. Scruté par les médias des années 20 et 30, il fut perçu jusqu'à sa mort comme l'archétype du « profiteur de guerre », commerçant avec toutes les puissances européennes.
La France de demain est un quotidien fondé en 1898 par l’explorateur Gabriel Bonvalot. Le poète Émile Hinzelin en a été le rédacteur en chef et l’explorateur Louis Le Barbier y a été chroniqueur. Parmi les « principaux collaborateurs » revendiqués, on trouve de grands noms comme Ernest Lavisse, Maurice Barrès ou encore Louis Madelin.
La misère absolue des « zoniers », peuple de la périphérie
Chassés de Paris par la spéculation immobilière, les habitants de la « Zone » vivaient dans des bidonvilles autour de la capitale. Pendant des décennies, les autorités ont cherché à les expulser.
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