Chère lectrice, cher lecteur,
Cela fait plusieurs jours que je vous écris pour vous alerter : Mercredi de la semaine dernière je vous dévoilais mon enquête sur le scandale d’Etat derrière la catastrophe de Lubrizol. Jeudi je pointais la stratégie de l’Etat : nous rassurer pour mieux nous endormir et tourner la page comme si de rien n’était. Vendredi je faisais le rapprochement avec le nuage de Tchernobyl : même danger pour notre santé, mêmes mensonges. Samedi même chose avec la catastrophe d’AZF cette fois, qui illustre aussi les similarités de discours et de traitement médiatique. Dimanche je vous dévoilais les précédents qui auraient dû alerter sur la dangerosité du site de Rouen, et qui mettent en doute l’idée d’un accident “imprévisible”. Lundi je dénonçais sans ambages les médias, relais complices du pouvoir qui n’assument plus guère leur rôle de contre-pouvoir et d’information non biaisée auprès des populations. Mardi j’allais plus loin, soulignant l’idée qu’une guerre de l’info fait rage, une guerre dont vous êtes l’enjeu, et dans laquelle s’affrontent des camps radicalisés. Mercredi l’actualité me rattrapais et je vous faisais part de cette nouvelle terrible : des analyses indépendantes ont révélé la présence de particules d'hydrocarbures dans le lait maternel de mères rouennaises ! Jeudi j’extrapolais le problème pour évoquer le rôle de l’Union Européenne dans ce jeu de dupes et de désinformation des populations pour servir d’autres intérêts que les vôtres. Hier je soulignais les conséquences de ce système sur vos finances : baisse de rémunération du Livret A et enrichissement des marchés sur le dos des épargnants. Aujourd’hui je souhaite attirer votre attention sur ces messages. Les avez-vous lus ?Mis bout à bout ils forment une véritable enquête sur les dérives majeures qui nous menacent en termes de :
Demain soir ce ne sera plus possible ! | |
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Frédéric Duval Le Vaillant Petit Économiste |
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