À l’heure où la connectivité s’érige en dogme et où la surveillance s’immisce dans les gestes les plus banals, une forme inédite de renoncement s’installe : douce, volontaire, presque imperceptible. La passivité numérique — non imposée, mais choisie — révèle les ressorts d’une servitude contemporaine que nous entretenons, par confort, par fatigue, par peur. |
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