Chaque jour, chaque nuit, les bombardements, les frappes, les tirs d'artillerie ne s'arrêtent pas, parfois intenses et continus, parfois avec quelques pauses ; chaque jour, nous nous disons que c'est le pire jour depuis le début de la guerre. Puis un autre jour vient nous dire : « vous n'avez pas encore vu le pire ! ». Chaque jour, nous continuons à compter les morts, les blessés, les destructions, l'agonie, l'humiliation, la famine, les maladies. |
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