Nous avons embauché des nouvelles personnes principalement dans des fonctions de support. Nous ne sommes pas assez bons dans la gestion de nos abonnés et nous avons pris du retard dans les envois de contreparties liées à la campagne pour les Marioles qui vont repartir, j’espère, début novembre. Il faut nous excuser. On fait au mieux. Des tas de gens ne nous aiment pas et préfèreraient nous voir échouer. Il n’y a qu’à voir la liste des procédures judiciaires contre Blast. Un magnat suisse, le maire RN de Perpignan, un édile des Pyrénées orientales, des députés macroniens, des philosophes de bazar, des journalistes frustrés de nous voir réussir là où ils ont échoué. J’en passe. Généralement, ces plaintes en diffamation sont le fait de personnes qui refusent de répondre à nos questions et qui cherchent à nous bâillonner ensuite. C’est l’arme des faibles. Mais elles coutent cher. Même si nous inventons des parades contre ces vents mauvais, nous regardons parfois nos comptes avec incertitude. Lâcher 2000 euros dans une procédure en Suisse alors que nous n’avons encore rien écrit, est traumatisant. La liberté d’expression se gagne aussi hors de nos frontières où Blast fait des lecteurs et des émules. Depuis deux ans que nous existons, nous essayons de ne pas trop vous solliciter. Si nos contenus vous plaisent, vous serez là. C’est un peu le challenge de Blast. Nous allons lancer des programmes nouveaux, initier des enquêtes pétaradantes. Grâce à vous et à vos dons, nous avons constitué une équipe de pigistes réguliers, solide et mieux structurée. Une quarantaine d’enquêtes sont en cours. Des Drahileaks, aux ventes d’armes, de la vétusté de certaines centrales nucléaires aux fonds des émirats qui déferlent en France, des coulisses du PSG à celle du Sénat ou de l’Assemblée, nous sommes sur de nombreux fronts. Depuis qu’Anticor a perdu son agrément, les sollicitations redoublent.
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