Elle s’appelle Maria. Elle travaille chez Vertbaudet. Et malgré ses 21 ans d’ancienneté, elle ne gagne que 1300 euros par mois. Maria fait partie de ces 80 femmes en grève depuis 65 jours. Emballeuse-préleveuse de métier, celle qui passe sept heures par jour debout réclame juste 150 net par mois de plus. De quoi tenir face à l’inflation. | |
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Las, la marque pour enfants, pourtant excédentaire, s’y refuse. Pire encore, alors qu’une gréviste, étranglée par un policier, se retrouve hospitalisée, la direction convoque six de ses collègues pour un entretien préalable avant licenciement. Dans le même temps, un délégué syndical est enlevé devant sa maison et agressé par plusieurs hommes armés qui menacent son fils et son épouse. | |
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Si vous aussi considérez que les ouvrières de Vertbaudet ont droit au respect et que ces méthodes répressives sont intolérables, mobilisez vous au plus vite. Ce vendredi, elles ont un rendez-vous avec la direction et auront besoin de montrer qu’elles sont largement soutenues. Cliquez ici pour signer la pétition.
Anaïs, Change.org |
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