« Responsables de la billetterie, projectionnistes, sous-titreur·euse·s [...] demandons que les pouvoirs publics, qui s’enorgueillissent de la politique culturelle à la française et prônent son rayonnement international, reconnaissent l'importance de nos missions ». Après les procès en « ingratitude », et alors que le plus grand festival de cinéma s'est clos dans un contexte marqué par 2 mois de mobilisation, le collectif des précaires des festivals de cinéma rappelle combien leurs conditions de travail sont fragilisées par la politique de libéralisation et de précarisation du gouvernement. |
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