Blast poursuit son chemin mais ne se tient pas tout à fait. Notre équilibre est à votre portée. Vous à qui j’adresse cette nouvelle newsletter, ce «best off subjectif», qui succède à ceux de Denis Robert et qui précède tous les autres. Autant de subjectivités mises en mots pour en définitive vous donner une idée quelque peu objective de nos aspirations. Critiques et politiques. Blast est insaisissable, son offre éditoriale est unique et sa visée est limpide. Chacune des sélections mises en avant dans la NL vous donnera à voir la singularité de Blast et dessinera avec force notre position dans le (contre) champ médiatique.
Nous avons ainsi pu la semaine dernière vous proposer de belles « lignes de Fuite » –qui ironie du sort- ont eu essentiellement pour cible l’Évasion. Fiscale bien entendu. Autour d’une émission spéciale consacrée au film de Yannick Kergoat La (très) grande évasion. Parce qu’il faut rappeler derrière les rouages, les ravages d’un phénomène mondialisé et gangréneux qui assèche les finances publiques des états. Autour d’un entretien consacré au fonctionnement de la HATVP née de l’affaire Cahuzac, avec Didier Migaud. Parce que L’implication du personnel politique dans ces grands circuits de corruption du plus au moins légal interroge les moyens mis en œuvre pour mettre fin à leur impunité. Enfin Autour d’une enquête avec le consortium Investigate Europe pointant les malversations du premier bailleur privé en région parisienne, Gecina attiré par de juteuses niches fiscales. Parce que les législations optimisées et les règles contournées n’épuisent ni les remises en cause éthiques ni les sentiments d’usure ou de résignation.
C’est pour cela qu’à Blast, en dépit de tout, nous ne nous lassons pas de vous informer. En toute indépendance.
Il n’y a pas de fatalité en matière d’urgence écologique, comme le rappelle inlassablement Paloma Moritz, mais il y a beaucoup de contre-vérités à déconstruire. Ici celles émises par un président usé aux cordes et aux codes – même youtubesques – légèrement dépassés. Il n’y a pas de frontière non plus entre le politique et le poétique. Pour preuve ce nouvel exégèse profane, cinématographique proposé par Pacôme Thiellement. Il célèbre à travers Shining de Kubrick le don de voir par delà les apparences puis écrit « La fin du film, c’est le retour à la lumière, le retour à la vie ». Pour sur, Le début de Blast aussi.
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