La "stratégie cachée" de Macron pour imposer le retour du masque obligatoire
Chers amis,
Est-ce que vous avez compris ce qui se trame entre Emmanuel Macron, la Première ministre, le ministre de la Santé et le Covars ?
Ils veulent tous le retour du masque obligatoire...
MAIS
Personne ne veut prendre la responsabilité de cette mesure très impopulaire
Alors que font-ils ??
Ils se rejettent la "patate chaude".
Mais ça y est, ils ont trouvé une stratégie cachée pour nous imposer le masque, sans en assumer la responsabilité.
Le tour de magie qu’ils vont utiliser, c’est la carte « préfet ».
Car dans chaque département, les préfets peuvent user de leur pouvoir de police administrative pour faire respecter l’ordre public ou la salubrité publique.
La Première ministre - championne pour contourner l’avis des parlementaires ou de l'opinion publique…
...va sans doute ordonner à ses armées de préfet de prendre des arrêtés locaux pour imposer le port du masque.
*** Masque obligatoire : le terrible lobbying de la nouvelle Madame Covid
Chers amis,
Elle a avoué ses intentions dès sa prise de fonction.
Le Professeur Brigitte Autran - la patronne du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires - réfléchit depuis des mois au retour du masque obligatoire.
Oui oui... vous avez BIEN LU : pas seulement recommandé, mais obligatoire.
Brigitte Autran fait le tour des plateaux télé pour dire que l'épidémie repart... relancer la vaccination... et qu'il faut porter le masque... et qu'elle et son comité réfléchissent à le rendre à nouveau obligatoire en France.
Je vous avais prévenu avant l'été...
... et ça y est, on y arrive.
Quel SCANDALE :
Après plus de 2 ans d'épidémies, ils continuent à nous prendre pour des imbéciles.
À peine nommée, la première ministre Elisabeth Borne avait demandé mardi 28 juin aux préfets et aux autorités sanitaires de “recommander” le port du masque dans les “lieux de promiscuité” et les “espaces clos”.
la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon a déjà demandé que l'on reporte le masque dans les transports en commun
Méfiez-vous ce n’est que le début… prudent… timide…
et attendez quelques semaines : il est tout à fait probable (si la ministre est encore là) qu'elle nous demande de porter le masque partout - tout le temps…
et pire, de forcer à nouveau le port du masque dans les écoles de noss enfants
Mais aussi, dans quelques jours ou semaines peut-être, dans nos villes, nos villages, dans nos campagnes…
Cette période est finie : plus personne en France n’acceptera des mesures dignes des régimes autoritaires.
Chaque Française, chaque Français est assez responsable pour savoir s’il doit porter un masque ou non.
Si on est porteur d’un virus, quand on est particulièrement fragile, ou dans un environnement fermé et très dense… chacun prend les précautions nécessaires.
Il n’est pas nécessaire d’infantiliser les Françaises et les Français en leur imposant des mesures sanitaires bureaucratiques, qui dans 80 % des cas n’ont aucun sens.
De nombreuses études indiquent que le port du masque ne sert à rien…
Des scientifiques danois ont montré que le masque en extérieur n’avait pas d’utilité.
Une autre étude a prouvé que le masque dans les écoles était là encore inutile
En revanche, tous les spécialistes s’accordent pour dire que c’est très utile pour mettre la société “au pas”… au “garde à vous” :
«ça a le mérite de ne pas faire réfléchir”, avoue le Dr Benjamin Davido, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré, à Garches (Hauts-de-Seine).
Dans le Parisien, ils évoquent la vraie raison :
“Pour Sandrine Raffin, spécialiste des changements, notamment en matière de santé, le masque obligatoire a permis de créer une norme sociale”.
« Quand quelqu'un se met à ne plus porter le masque dans les transports, on le regarde un peu mal, il est en dehors de la norme sociale"
De grandes figures scientifiques, comme le Professeur Didier Raoult ont très vite expliqué qu’une obligation n’était pas une bonne idée…
Le Marseillais avait deviné dès le début ce qui allait se passer :
« Si les masques peuvent rassurer c’est une chose, mais je suis inquiet qu’on fasse une fixation trop importante dessus, parce que maintenant c’est les gens qui vont vouloir faire la loi ».
« Il y a toujours un dictateur rentré dans beaucoup de gens qui voudraient imposer […] Il risque d’y avoir des tensions, des bagarres ».
Pour éviter ces dérapages à nouveau, il faut à tout prix stopper le Gouvernement dans son élan et dire “NON maintenant au retour du masque obligatoire”.
Pourquoi l’obligation entraîne des comportements dangereux
Quand le port du masque a été rendu obligatoire la première fois, on a tous vu dans quelles conditions catastrophiques cette mesure a été appliquée :
la plupart des gens gardent le même masque pendant plusieurs jours ;
très vite, ces masques sont pleins de microbes et de virus en tous genres ;
ils sont rangés au fond d’une poche ou d’un sac à main quand ils ne sont plus nécessaires…
et au restaurant par exemple, on les ressort quand on doit se lever pour aller payer ou aller aux toilettes !
Il faudrait faire une analyse biologique des masques en circulation à Paris ou dans les grandes villes pour compter le nombre de germes qu’ils portent.
Là, les bactéries vont se développer rapidement.
C’est d’ailleurs pour cette raison que pendant des semaines au début de la crise, ils nous ont recommandé de ne SURTOUT pas porter le masque.
Depuis le début de la crise, le masque suscite les craintes d’un des plus grands infectiologues, le Professeur Didier Pittet.
Attention, c’est tout sauf un hurluberlu : c’est lui qui a permis la généralisation du gel hydro-alcoolique dans les hôpitaux.
Mais pour lui, le grand public n’est pas à même de bien utiliser le masque.
Idéalement, il faut se frictionner les mains avant de toucher le masque et de le mettre
Ensuite de ne plus le toucher :
Et enfin se frictionner les mains à nouveau après l’avoir enlevé.
Honnêtement, qui fait ça ??
Pour cet éminent professeur, si ces règles d’hygiène ne sont pas respectées, le pot du masque entraîne un «risque augmenté pour la population».
D’ailleurs, c’est exactement ce que l’on nous disait au début de l'épidémie :
Masques : comment ils ont changé d’avis
Voici ce que conseillait le Gouvernement…
… avant qu’on ne réalise que notre stock stratégique avait été détruit
… avant que l’Etat ne commande des centaines de millions de masques…
… avant qu’Emmanuel Macron demande à des usines françaises de lancer la fabrication de masques en tissus (qui ne protègent pas du virus).
« Il n’y a pas besoin d’un masque quand on respecte la distance de protection vis-à-vis des autres ».
(Sibeth Ndiaye porte-parole du gouvernement - le 25 mars 2020)
« Il faut sortir de ce fantasme autour des masques. Respecter une distance de plus d’un mètre, c’est beaucoup plus efficace qu’un masque. Et, surtout, on a des cas de contamination de gens qui portent des masques et le tripotent toute la journée. »
(Agnès Pannier-Runacher, ministre, le 19 mar 2020)
« Il n’y a pas de preuve que le port du masque dans la population apporterait un bénéfice. Ce serait même plutôt le contraire, à cause d’une mauvaise utilisation ».
(Édouard Philippe, Premier ministre, le 1er avril 2020)
"Le port du masque, en population générale dans la rue, ça ne sert à rien"
(Edouard Philippe, Premier ministre, le 13 mars 2020)
Ca, c’était le discours quand la France était en panne de masque.
On a découvert après que c’était un mensonge, un vrai mensonge d’Etat
Mais ils s'en moquent.
Et vous allez voir, dans quelques jours, ils vont vous FORCER à vous masquer à nouveau.
Partout.
Tout le temps.
Encore une fois, je ne suis pas contre le port du masque.
Ce qui me gêne ici, c’est vraiment caractère obligatoire de cette décision.
Certains épidémiologistes pensent comme moi que l’obligation peut-être contre-productive et entraîner une forme de rejet.
"Le port du masque devrait être optimisé selon les situations. L’imposer 10 h de rang au travail, par exemple, en fait un objet insupportable et il ne devrait être porté que dans les situations les plus à risques. En faire une contrainte pourrait entraîner un effet inverse de rejet alors qu’il est efficace".
(Dr Martin Blachier, épidémiologiste)
Et il a raison : le rejet a été très rapide.
Nous ne voulons plus qu'une mesure aussi grave soit imposée comme ça.
Chacun peut librement décider si OUI ou NON il doit porter un masque.
[4] Coma, Ermengol and Català, Martí and Méndez-Boo, Leonardo and Alonso, Sergio and Hermosilla, Eduardo and Alvarez-Lacalle, Enric and Pino, David and Medina-Peralta, Manuel and Asso, Laia and Gatell, Anna and Bassat, Quique and Mas, Ariadna and Soriano-Arandes, Antoni and Fina-Aviles, Francesc and Prats, Clara, Unravelling the Role of the Mandatory Use of Face Covering Masks for the Control of SARS-CoV-2 in Schools: A Quasi-Experimental Study Nested in a Population-Based Cohort in Catalonia (Spain) (March 1, 2022)
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