L'action est l'antidote du desespoir ! Une grande bataille s'ouvre : Celle des législatives, le troisième tour.
Un autre monde est toujours possible.
Alain Goutal
" Monsieur Macron m'a appelé, je n'ai pas répondu, chacun ses priorités... "
(Philippe MARTINEZ CGT.)
Parait que le président en a gros contre la CGT et son secrétaire général... Philippe Martinez.
Sur RMC, ce dernier révèle le contenu de l'échange ► bit.ly/3rRdaTS
Le champ politique se métamorphose : trois grands blocs ont émergé. L'Union Populaire, qui affirme une volonté d'élargissement à gauche et chez les écologistes, ouvre grand l'espoir 👇
Fred Sochard
Union Syndicale Solidaires
Financé par Union Syndicale SolidairesCommuniqué Solidaires Face à Macron, construisons la contre offensive de masse
Financé par Union Syndicale Solidaires
Communiqué Solidaires
Face à Macron, construisons la contre offensive de masse
J'étais présente aujourd'hui à la mobilisation contre un poulailler industriel de +150000 poules à Lescout, dans le Tarn. C'est un projet aberrant en pleine épidémie de grippe aviaire qui rappelle l'impasse de l'"élevage" industriel.
La proposition de loi La France Insoumise contre les fermes-usines et dont j'étais rapporteure:
Je lis des commentaires et statuts sur FB à propos de JLM qui veut être 1er ministre : " c'est beau de rêver" ou " JLM prend ses rêves pour des réalités .." et autres billevesées .Un petit cours d'instruction civique s'impose il me semble non ? Pour les gens de peu de foi .
Non JLM ne rêve pas ! c'est tout à fait réaliste au contraire et , possible ! si Macron n'a pas la majorité à l'AN il ne peut quasi rien faire ! Il n'est pas obligé de prendre un 1er ministre de la majorité parlementaire , mais , si il ne le fait pas il risque gros . Même si cela n’a jamais été fait, le président pourrait décider d’ignorer la majorité parlementaire et nommer un gouvernement de son propre bord politique. Mais cela conduirait vraisemblablement à une succession de renversements des gouvernements ou de dissolutions de l’Assemblée. Autrement dit, à une paralysie lourde des institutions. Le nouvel élu ne pourrait donc pas faire grand-chose.Pour Emmanuel Macron, l'objectif est simple : placer le maximum de candidats de la République en Marche (REM) sur les bancs de l'Assemblée nationale afin de pouvoir mettre en œuvre son programme.
S'il n'obtient pas satisfaction, le nouveau président devra composer avec une majorité parlementaire hostile , qu'elle soit de droite ou de gauche. Celle-ci pourra décider de ne pas appliquer les mesures listées dans son programme . Des mesures qui, pour l'essentiel, ne dépendent pas des pouvoirs que confère la constitution au chef de l'État...
Avec un Premier ministre et un gouvernement issus d'une majorité parlementaire autre que celle du président, la France vivrait, après 1986-1988, 1993-1995 et 1997-2002, une nouvelle cohabitation , la première depuis l'instauration du quinquennat en 2002.
Le gardien de la constitution
Dans la Ve République, les pouvoirs du président sont clairement définis . Certains lui sont réservés, d'autres sont "partagés" avec le gouvernement (voir ci-dessous). "D'après l’article 5 de la constitution, le président de la République est d’abord le gardien de la constitution , il en est son premier interprète sur le plan politique", précise Olivier Rouquan, politologue, constitutionnaliste, chercheur associé au Centre d'études et de recherches de sciences administratives et politiques (Cersa) et auteur du livre "En finir avec le président" (éditions François Bourin).
"Ensuite, il est l'arbitre du fonctionnement régulier des pouvoirs publics et de la continuité de l’État, reprend-il. Ça signifie qu’en utilisant notamment les référendums ou la dissolution, il peut trancher des conflits, demander au peuple de se prononcer au nom de la continuité de l’État . Puis, il est aussi garant de l’indépendance nationale, de l’autonomie de la nation, de la politique internationale et de la défense".
Autre pouvoir essentiel et peut-être moins mis en lumière, celui de nommer un grand nombre de hauts fonctionnaires et trois membres, dont le président, du Conseil constitutionnel . Une prérogative qui lui permet, même en cas de cohabitation, de conserver des soutiens influents dans les rouages de la machine d'État.
Premier ministre, premier opposant ?
Le président est chargé de nommer le Premier ministre mais ce rôle est conditionné à une logique politique. En clair, le président n'a pas les coudées franches et il est généralement contraint de choisir, bon gré mal gré, un chef de gouvernement de la même couleur politique que l'Assemblée nationale.
"Il n’y a pas d’obligation constitutionnelle à nommer un Premier ministre issu de la majorité à l’Assemblée mais il y a une logique institutionnelle et politique, développe Olivier Rouquan. Pour que l’exécutif fonctionne, il faut que le Premier ministre obtienne la confiance de l’Assemblée. Donc si on a une majorité qui se dégage à l’Assemblée, il est clair que le président doit nommer un Premier ministre issu de cette majorité. Sans quoi, ce serait ouvrir une crise institutionnelle alors que le président doit jouer le rôle d’arbitre du bon fonctionnement des institutions."
Une dissolution à moyen terme ?
Si la République en Marche n'obtient pas une majorité lors des législatives, Emmanuel Macron devrait donc nommer un Premier ministre issu des rangs de la France insoumise, du Front national .
S'il devait vivre une cohabitation, le président disposerait toutefois d'une possibilité de rebattre les cartes politique en procédant, au bout de quelques années, à une dissolution de l'Assemblée nationale, ce qui provoquerait des élections législatives anticipées . "On peut tout imaginer", admet Olivier Rouquan. Le risque de tout perdre une deuxième fois serait toutefois réel, le président pouvant être associé au bilan du gouvernement, même s'il ne serait pas, dans cette hypothèse, directement responsable de la politique menée dans le pays.
Des "pouvoirs partagés"
Car c'est bien le gouvernement, et donc le Premier ministre, qui pilote l'essentiel de la politique intérieure du pays dans la Ve République. Sur les questions économiques, l'éducation, la santé, l'emploi, le code du travail ou encore la justice , seules les lois, votées par le Parlement, peuvent faire bouger les lignes. Ces compétences font partie des "pouvoirs partagés", ce sont donc des orientations pour lesquelles le président n'est pas le seul à décider. Il promulgue les lois, peut demander une seconde délibération, mais celles-ci doivent avoir été d'abord votées par l'Assemblée puis contresignée par le Premier ministre, voire les ministres concernés.
Il convient de préciser que dans les usages, lorsque le président dispose d'une majorité, il a quasiment les pleins pouvoirs, le Premier ministre appliquant généralement ses directives . "Au-delà du droit, les chefs d’état successifs se sont arrogé la possibilité de décider de beaucoup de choses, dans le silence des textes", note Olivier Rouquan. La machine coince, en revanche, dans le cas d'une cohabitation.
"On prend conscience bien tardivement que la France n’est pas un régime présidentiel mais semi-présidentiel, donc aussi semi-parlementaire , poursuit-il. Les législatives et le rapport entre l’Assemblée et le gouvernement sont déterminants pour la concrétisation des orientations présidentielles en matière de politique publique". Sans le soutien de l'Assemblée, le champ d'action du président est considérablement réduit.
Un système à revoir ?
Pour Olivier Rouquan, le calendrier du quinquennat tel qu'il est conçu depuis 2002, avec la quasi-simultanéité du scrutin présidentiel et du scrutin législatif, a "déstabilisé la logique de la Ve République" . L'enchaînement des deux élections permet généralement au président élu de disposer, quelques semaines plus tard, d'une majorité ce qui lui offre, par la force des choses, une mainmise totale sur le pouvoir.
Conséquence : "Cela entraîne une confusion des rôles entre le président et le Premier ministre, estime le politologue. On n’y comprend parfois plus grand-chose. Avec Sarkozy et Hollande, ça a entraîné un affaiblissement de la fonction présidentielle . Aucun n’a été réélu et Hollande n’a même pas réussi à se représenter, ce qui illustre cet affaiblissement".
Le chercheur considère qu'à terme, un choix devra être fait : "Soit on revient à la logique de la Ve République, c'est-à-dire qu’il faut une arythmie entre le mandat présidentiel et le mandat législatif, avec par exemple un mandat de six ans pour le président et de quatre pour l’Assemblée . Là, on retrouverait la logique de la Ve République. Soit, si on reste sur un quinquennat, il faut, à terme, acter le fait que le Premier ministre soit le leader de l’exécutif, ce qui est le cas dans plusieurs régimes européens. Donc lui accorder des pouvoirs qui sont, pour le moment, aux mains du président".
Selon lui, une chose est sûre : "Dire que les législatives sont déterminantes dans un système qui serait présidentialiste, c’est un problème..."
Le Comité des Bouches du Rhône du POI engagé dans l'Union populaire, sera présent, avec la France Insoumise, ce mercredi 27 avril à 13 h 30 devant l'Inspection académique à Marseille, pour soutenir la professeure des écoles, Myriam Ghadjati, mise en cause par sa hiérarchie pour avoir exigé, au sein du Conseil d'école, la sécurité de ses élèves.
Les responsables de l'Education nationale qui, depuis des années, ne cessent de laisser dépérir le service de médecine scolaire, reprochent à l'enseignante, par ailleurs connue pour ses engagements à la LFI, d'avoir exigé que "toutes les mesures soient prises pour garantir la sécurité" de ses élèves destinés à aller dans une institution qui fait l'objet d'une enquête de police pour des faits graves à l'encontre des enfants qui lui sont confiés.
L'Education nationale qui prétend que les Conseils d'école ( mis en place en 1976 par le ministre de Giscard d'Estaing, René Haby) sont faits pour le dialogue, démontre ainsi que les enseignants peuvent y être l'objet de délations malhonnêtes.
Le Comité POI des Bouches du Rhône exige qu'aucune sanction d'aucune sorte ne soit prise à l'égard de Myriam Ghedjati.
pendant une semaine on a eu droit à du Mr Mélenchon de jolies photos et là c'est reparti
la vilaine extrême gauche est de retour
pendant une semaine on a eu droit à du Mr Mélenchon de jolies photos et là c'est reparti
la vilaine extrême gauche est de retour
la vilaine extrême gauche est de retour
Alexis Corbière
Je serai ce soir sur #LCI dans l'émission Brunet Et Cie !
Je serai ce soir sur #LCI dans l'émission Brunet Et Cie !
LANCEMENT DE LA CAMPAGNE DE L’UNION POPULAIRE POUR LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES A AUBERVILLIERS ET PANTIN
Rendez-vous demain, mercredi 27 avril à partir de 19h à l'école Josephine Baker, 18 rue Denis Papin à Pantin pour lancer la campagne de l’Union Populaire pour les élections législatives à Aubervilliers et Pantin.
Les 12 et 19 juin prochains, les 577 circonscriptions éliront leurs députés. Après une élection présidentielle qui n’a réglé aucun des problèmes démocratiques, sociaux, et écologiques auxquels nous faisons face, ces élections législatives nous donnent l’occasion d’un 3ème tour, pour battre Macron et Le Pen.
Le 12 et 19 juin 2022 votez en masse pour l'union populaire LFI aux législatives.
Pour prendre le pouvoir, pour appliquer le programme de l'union populaire de mèlenchon.
Pour sauver le peuple français qui souffre.
Une seule alternative. Rassembler autour de l'Union Populaire avec le programme de l'Avenir en Commun, c'est la solution pour remporter les Législatives !
Pour voir le passage complet lors de la matinale sur #BFMTV :
⚒️FERMONS LES MINISTÈRES ! 🪚
Ce matin un mur a été construit devant le Ministère de l'Écologie. Face à l'inaction du pouvoir face à la catastrophe climatique et suite à la réélection de Macron, certains n'attendent plus rien du gouvernement et appellent à reprendre le contrôle. Avant qu'il ne soit trop tard.
Ce matin un mur a été construit devant le Ministère de l'Écologie. Face à l'inaction du pouvoir face à la catastrophe climatique et suite à la réélection de Macron, certains n'attendent plus rien du gouvernement et appellent à reprendre le contrôle. Avant qu'il ne soit trop tard.
Samedi 30 avril, retour en campagne... et dans la joie !
Oui, on peut retrouver les campagnes populaires. Oui, on peut les unir aux quartiers populaires. Oui, l'Union populaire peut devenir majoritaire, et on va le montrer ! Samedi 30 avril, on se retrouve en fanfare, en karaoké avec Shirley et Dino, à 18h à Flixecourt, pour mon lancement de campagne. Et porte après porte, rue après rue, village après village, on va rouvrir un chemin d'espérance entre l'extrême droite et l'extrême argent.
"Lionel Jospin reconnaît que LFI est «la force dominante à gauche». Bien que «soulagé» par la défaite de Marine Le Pen dimanche au second tour de l’élection présidentielle, l’ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin reproche, dans le Parisien, à Macron d’avoir «tout fait pour que se reproduise le face-à-face ultime avec l’extrême droite». Celui qui avait mené un gouvernement de gauche plurielle sous la présidence de Jacques Chirac entre 1997 et 2002 estime que la France insoumise «est désormais la force dominante à gauche». Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon a «le devoir» de rassembler la gauche, estime Jospin. Il invite le Parti socialiste, dont il a été le Premier secrétaire, à «participer à un accord électoral de toute la gauche aux élections législatives, à condition qu’on ne cherche pas à l’écraser»."
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