Translate

samedi 14 novembre 2020

Au sommaire de Mediapart - samedi 14 novembre 2020

 

La lettre quotidienne
samedi 14 novembre 2020

À la une de Mediapart

C’est tout un pan de la défense de l’ex-président qui s’effondre. Une série de mails, dont Mediapart a pris connaissance, démontre que Nicolas Sarkozy a menti concernant la réalité de sa relation avec son homme de l’ombre Thierry Gaubert, qui a perçu en 2006 sur un compte offshore un demi-million d’euros du régime Kadhafi avant d’en retirer une partie en espèces en France.

Alors que l’Europe est menacée d’une deuxième récession en moins de six mois, les responsables européens continuent de sous-estimer la nature et l’ampleur du choc provoqué par la pandémie. Des pans entiers des économies européennes sont menacés. Mais aucune réponse politique ne se profile.

Par Sophie Boutboul

Des femmes intervenant ou travaillant en prison témoignent d’humiliations sexistes de la part de surveillants. Selon nos informations, une avocate toulousaine a déposé, fin octobre, un recours contre la maison d’arrêt de Seysses pour « excès de pouvoir », après avoir dû retirer son soutien-gorge.

Par Olivier Bertrand

En France, ces dernières semaines, des étrangers sont incarcérés parce qu’ils refusent de passer un test Covid, préalable à leur expulsion. Cela vient d’arriver à un Tunisien sans papiers de 19 ans. Il avait témoigné auprès de Mediapart de violences policières à Lyon.

Par Harrison Stetler

Même si le Parti républicain ne suit pas Donald Trump dans son obstination à refuser le résultat des urnes, sa stratégie est toute prête. Il s’agira de jeter le discrédit sur le président élu et de l’empêcher de gouverner par tous les moyens.

En Tchétchénie, les proches de la famille de l’assassin de l’enseignant français font corps. Tout comme une majorité de Tchétchènes, ils ne comprennent pas les caricatures de Mahomet. Et l’autocrate au pouvoir dans cette petite république semi-autonome instrumentalise la situation.

L’écrivaine et cinéaste Nelly Kaplan a succombé, le 12 novembre à Genève, à la pandémie de Covid-19. Sa liberté radicale ne se résumait pas au film La Fiancée du pirate (1969).

Par Images en Bibliothèques & Mediapart

« Journal, chronologie des jours qui passent. Toi aussi tu as connu ça, les jours heureux et puis les jours de doute. Tous ces moments, je te les donne à voir. Prends-en soin. » Ainsi commence le film d’Éric Pauwels. Un majestueux montage d’instants saisis par un regard poétique et un esprit ludique, où l’on rencontre des amis, des enfants, des œuvres peintes, des araignées…

La National Gallery de Londres avait déjà repoussé à l’automne son exposition de printemps, une rétrospective exceptionnelle autour d’Artemisia Gentileschi. Mediapart, qui avait prévu de s’y rendre, a dû se résoudre à une visite virtuelle…

Les ministres Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu avaient poursuivi en diffamation Mediapart pour un article expliquant qu’ils avaient loué, pour leurs vacances en Corse, la villa d’un repris de justice. Le tribunal leur a donné tort. Comme lors des présidences précédentes, aucune de nos enquêtes sur le pouvoir n’a été démentie. À se demander si les mensonges et accusations à notre encontre ne sont pas le seul moyen pour tenter de discréditer notre travail.

Entretien croisé entre Marie-Basile Mbarga, auxiliaire de vie, et Najat Vallaud-Belkacem, co-autrice de La Société des vulnérables. Elles racontent comment les métiers du care, essentiels à la société, sont à la fois très féminisés et mal reconnus. Une émission de « La révolution féministe ».

Dans le Club  Les lecteurs prennent la parole

Le Club est l’espace de libre expression des abonnés de Mediapart.

Après la requalification en «atteinte sexuelle» des viols subis par Julie Leriche entre 13 et 15 ans, commis par des pompiers, un large ensemble d'actrices et acteurs de la protection de l'enfance et de féministes s'élèvent contre l'idée qu'elle ait «une part de responsabilité dans les crimes qu'elle a subis et qui l'ont détruite». Ils et elles demandent dans une lettre ouverte à Emmanuel et Brigitte Macron une évolution de la loi pour protéger les enfants victimes de pédocriminalité. 

 

Aujourd’hui, ANTICOR sort de l’ombre pour faire la lumière sur sa situation : pour pouvoir saisir un juge, l'association doit bénéficier d’un agrément essentiel, octroyé par le ministère de la Justice (en 2021, ce sera par le Premier ministre, car Anticor a porté plainte contre le Ministre de la justice). Sans celui-ci, de nombreuses affaires seraient clôturées, du jour au lendemain.

Les archives du Journal et du Club

1€ seulement
Testez Mediapart !
Découvrez Mediapart pendant 15 jours pour 1€ seulement et profitez de la richesse d’un média 100% indépendant (sans publicités sur le site, sans actionnaires, sans subventions).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire