Aujourd'hui nos pompiers...ceux qui risquent leur vie pour nous sauver, sont également réprimés, violentés ! J'ai honte à ma France ! pays des droits de l'homme ! –
en colère.


UNSA SDIS 77

L’ère des catacombes.
Au début du mouvement populaire des Gilets Jaunes et face à la réaction répressive de l’exécutif, j’avais alerté sur la caractéristique selon moi fondamentale du macronisme : provoquer les clivages et la division jusqu’à l’extrême, monter toutes les portions du peuple français les unes contre les autres afin de pouvoir, pendant ce temps, poursuivre le dépeçage et la prédation des Biens Communs, du patrimoine et de la souveraineté nationale.
J’avais notamment produit un article mettant en garde contre l’instrumentalisation de la police à des fins de basse politique. J’y rappelais que la police est républicaine parce qu’elle protège et émane du peuple qui lui transfère délibérément cette légitimité.
L’œuvre du macronisme aura consisté à monter le peuple contre sa police, la police contre son peuple, à monter absolument tout le monde contre tout le monde et c’est cela que retiendra l’Histoire.
Je n’ai jamais connu mon pays aussi divisé et hystérique, et l’état du débat public comme de l’espace public lui-même me paraît relever du film d’horreur ou du cauchemar.
Cet esprit intrinsèque de division perverse de la communauté nationale a été aujourd’hui poussé selon moi à son insupportable acmé.
Après avoir éborgné les Gilets Jaunes, gazé les marcheurs pour le climat, nous avons pu assister au spectacle simplement hallucinant d’une police qui, obéissant aux ordres, s’en prend à nos pompiers.
Sincèrement, il prend parfois envie de juste mettre la clé sous la porte et de partir très loin, sauf qu’on ne voit même pas où les choses seraient meilleures.
Un jour, il y a quelques années, l’écrivain que j’aime et admire, Pierre Bergounioux, que j’avais invité au Centre Pompidou, me confiait que nous entrions dans «l’ère des catacombes».
Cette phrase résonne de plus en plus sombrement dans mon esprit.
Il va falloir que quelque chose advienne pour nous en faire sortir parce que là nous avons dépassé le seuil du supportable je crois...
Au début du mouvement populaire des Gilets Jaunes et face à la réaction répressive de l’exécutif, j’avais alerté sur la caractéristique selon moi fondamentale du macronisme : provoquer les clivages et la division jusqu’à l’extrême, monter toutes les portions du peuple français les unes contre les autres afin de pouvoir, pendant ce temps, poursuivre le dépeçage et la prédation des Biens Communs, du patrimoine et de la souveraineté nationale.
J’avais notamment produit un article mettant en garde contre l’instrumentalisation de la police à des fins de basse politique. J’y rappelais que la police est républicaine parce qu’elle protège et émane du peuple qui lui transfère délibérément cette légitimité.
L’œuvre du macronisme aura consisté à monter le peuple contre sa police, la police contre son peuple, à monter absolument tout le monde contre tout le monde et c’est cela que retiendra l’Histoire.
Je n’ai jamais connu mon pays aussi divisé et hystérique, et l’état du débat public comme de l’espace public lui-même me paraît relever du film d’horreur ou du cauchemar.
Cet esprit intrinsèque de division perverse de la communauté nationale a été aujourd’hui poussé selon moi à son insupportable acmé.
Après avoir éborgné les Gilets Jaunes, gazé les marcheurs pour le climat, nous avons pu assister au spectacle simplement hallucinant d’une police qui, obéissant aux ordres, s’en prend à nos pompiers.
Sincèrement, il prend parfois envie de juste mettre la clé sous la porte et de partir très loin, sauf qu’on ne voit même pas où les choses seraient meilleures.
Un jour, il y a quelques années, l’écrivain que j’aime et admire, Pierre Bergounioux, que j’avais invité au Centre Pompidou, me confiait que nous entrions dans «l’ère des catacombes».
Cette phrase résonne de plus en plus sombrement dans mon esprit.
Il va falloir que quelque chose advienne pour nous en faire sortir parce que là nous avons dépassé le seuil du supportable je crois...


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