Témoignage poignant d'une mamy de 87 ans qui appelle à la résistance contre Macron :
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Des décrocheurs du portait de Macron relaxés à Lyon et Strasbourg. Des jugements qui vont faire jurisprudence.
Belloubet, ministre de la Justice, épinglée pour fausse déclaration de patrimoine.
Mise en cause sévère des forces publiques, gendarmes et policiers, qui ne respectent pas la loi.
Le 21 septembre, les policiers et gendarmes devront avoir en tête la loi, qu'ils enfreignent depuis 10 mois, et réfléchir à leur mission, qui est dévoyée, en ne se mettant qu'au service de Macron, ce qui est contraire à la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen, qui est le préambule de notre Constitution :
Article XII
La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc constituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.
Article 431-1 du Code Pénal : Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de menaces, l'exercice de la liberté d'expression, du travail, d'association, de réunion ou de manifestation ou d'entraver le déroulement des débats d'une assemblée parlementaire ou d'un organe délibérant d'une collectivité territoriale est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.
- Empêcher des personnes de manifester pacifiquement est une infraction à la loi.
Le fait d'entraver, d'une manière concertée et à l'aide de coups, violences, voies de fait, destructions ou dégradations au sens du présent code, l'exercice d'une des libertés visées à l'alinéa précédent est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.
Article 432-1 du Code Pénal : Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique, agissant dans l'exercice de ses fonctions, de prendre des mesures destinées à faire échec à l'exécution de la loi est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Article 432-4 du Code Pénal : "Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner ou d'accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende."
Article 122-4 alinéa 2 du Code Pénal : "N'est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l'autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal."
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