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vendredi 1 février 2019

Emmanuel Macron après "l'acte VI" des gilets jaunes: "c’est maintenant l’ordre qui doit régner" - le 23.12.2018

La cause principale du désordre c'est la politique anti sociale du Monarque Jupitérien ... Alors qu'il déchaîne la répression contre toutes les manifestations il n'a plus aucune crédibilité dans le pays !
L'ordre qu'il veut imposer c'est celui de l'état policier ...ce n'est plus la république en marche...c'est la dictature en marche ! Plus que jamais résistance ! Solidarité avec tous les combatants de la liberté 
(BV) 


https://www.huffingtonpost.fr


POLITIQUE
23/12/2018 10:17 CET | Actualisé il y a 5 heure

Emmanuel Macron après "l'acte VI" des gilets jaunes: "c’est maintenant l’ordre qui doit régner"


Depuis la base militaire de N'Djamena au Tchad, le président a assuré "que les réponses judiciaires les plus sévères seront apportées" aux violences.


Le HuffPost avec AFP

GILETS JAUNES - Le chef de l'État a commenté samedi 22 décembre l'actualité française, depuis le Tchad où il a réveillonné avec les soldats français. Emmanuel Macron a exprimé sa volonté de voir désormais "l'ordre, le calme et la concorde régner".
Répondant à BFMTV en marge de sa visite sur la base militaire de N'Djamena, le président a expliqué que "le ministre de l'Intérieur (Christophe Castaner) a suivi les choses tout au long de la journée" et qu'il était "en contact avec lui" au jour de "l'acte VI" des gilets jaunes.
"Il est évident que les réponses judiciaires les plus sévères seront apportées. C'est maintenant l'ordre qui doit régner, le calme et la concorde. Notre pays a besoin de ça. Il a besoin de concorde, d'unité, d'un engagement sincère pour des causes collectives fortes et il faut apaiser les divisions", a dit Emmanuel Macron, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.
Dans son allocution aux troupes plus tôt dans la soirée, il avait salué le "courage" et la "fraternité d'armes" des soldats, sans faire la moindre allusion aux gilets jaunes qui ont mené un nouveau samedi de mobilisation, nettement moins suivi que les précédents.
Le ministère de l'Intérieur a dénombré samedi 38.600 manifestants à 18 heures à travers le pays (contre 66.000 une semaine plus tôt), dans des défilés épars, des barrages routiers et des blocages aux frontières avec l'Espagne, l'Italie ou l'Allemagne. À Paris, les manifestants étaient 2000, deux fois moins que sept jours avant.
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