Les incantations hystériques qui secouent la république feraient hurler de rire si nous vivions en permanence le 1er avril.
Dans un calendrier normal, le grand-guignol qui nous est servi n'est rien d'autre qu'un divertissement funeste, un feuilleton à rebondissement d'une médiocrité sans nom servant à masquer le réel.
On s'étripe gaillardement au ras des pâquerettes pendant que le projet de destruction de nos sociétés avance à grands pas.
Et Foutriquet de jouir du spectacle.
Il y en au moins un qui l'apprécie, en riant de bon cœur du désastre ambiant - comme tout bon pervers qui se respecte...
Émission du 2 avril 20
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