C’était en avril dernier. Méprisant les millions de grévistes et de manifestants mobilisés depuis de longs mois contre sa réforme des retraites, Macron venait de la faire « adopter » par un 49-3 à l’Assemblée nationale. Alors que les travailleurs et les jeunes continuaient à défiler au cri de « Macron, démission ! », les dirigeants des partis de la Nupes, eux, se tournèrent vers le président pour le supplier solennellement de ne pas promulguer sa loi. Ce qu’il fit pourtant dès que le Conseil constitutionnel lui en eut donné le feu vert.
On a revécu la même scène la semaine dernière.
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