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dimanche 26 novembre 2023

La Santé avec Alertes Santé - Effets secondaires du vaccin covid 19 - Bilan d’automne

 La Santé 

Effets secondaires du vaccin covid 19 - Bilan d’automne 


Chère amie, cher ami,

Le covid 19 n’est plus un sujet de discussion. On n’en entendra plus parler d’ici quelques mois ou années. 

On ne peut pas dire la même chose, hélas, des effets secondaires liés aux vaccins contre le covid 19. 

Pour de nombreux patients, ces problèmes de santé s’inscrivent dans le temps(1).
 
Depuis qu’ils sont vaccinés, ces patients, qui n’avaient pas de problèmes de santé importants jusque-là, sont touchés par des symptômes plus ou moins pénibles(1).

Ils vivent en état de sous-santé. 

Une étude publiée le 10 novembre 2023 par des chercheurs de l’université de Yale vient confirmer cette réalité(1).
 

Yale : une institution respectée dans le monde entier


L’Université de Yale est l’une des plus anciennes institutions d’enseignement supérieur des États-Unis. 

Elle a été fondée en 1701 dans le but de former les dirigeants de l’État du Connecticut(2).

Sa première bibliothèque a été constituée par des pasteurs congrégationalistes qui ont mis en commun tous les livres dont ils disposaient(2).

L’institution est devenue le Collège de Yale en hommage à l’un de ses grands donateurs : Elihu Yale. Ce dernier était gouverneur de la compagnie des Indes orientales(2).

Yale a d’abord été un grand centre de théologie avant d’intégrer dans ses formations les humanités, la science et la médecine. 

Aujourd’hui, Yale est l’une des universités les plus prestigieuses du monde(2).  

Sa faculté de médecine, en particulier, est très réputée. 

Quand, ses chercheurs publient des données, elles sont prises au sérieux.
 

Le programme LISTEN 


Or, un groupe de chercheurs de Yale a décidé de lancer un programme de recherche spécifique sur(3) 
  • les covid longs ;
  • les effets secondaires des vaccins anticovid 19 ;
  • la relation entre vaccination anticovid 19 et le système immunitaire. 
Le nom du programme est LISTEN ce qui, en anglais, veut dire “écouter.”

Le programme est financé en partie par le NIH américain (l’institut national pour la santé), une institution publique(3).

C’est un peu comme si, après des mois d’aveuglement et d’idéologie médicale, les autorités de santé américaines s’étaient soudain décidées à écouter et analyser les remontées du terrain. 

En France, seul le Pr Didier Raoult a proposé cette approche. 

Il ne jurait et ne jure toujours que par les données(4) !

En l'occurrence, le programme LISTEN fait appel à des participants qui doivent répondre à des questionnaires de santé(1,3).  

Leurs données médicales sont accessibles aux chercheurs(1,3).

Ces travaux sont coordonnés par le Pr Harlan Krumholz qui est un cardiologue de l’université de Yale, exerçant à l’hôpital de New Haven(5).

Sa biographie officielle explique qu’il dispose d’une expertise particulière dans(5) : 
  • l’amélioration de l’efficacité des soins ;
  • la promotion de l’équité et l’élimination des disparités dans l’accès aux soins ;
  • l’amélioration de l’intégrité et de la transparence dans la recherche médicale ;
  • la volonté de responsabiliser les patients : qu’ils soient impliqués dans leur prise en charge ;
  • la suppression des traitements inefficaces. 
C’est donc avant tout un monsieur “éthique” de la médecine mais également un chercheur qualifié.

L’étude du 10 novembre 2023 peut difficilement être considérée comme ayant été menée par de dangereux complotistes. 
 


Une étude ciblée sur les effets secondaires liés à la vaccination anticovid 19 


Les chercheurs ont recruté des participants à partir du mois de mai 2022(1).

88% des participants vivent aux États-Unis(1).

80% de la cohorte est constituée de femmes. 

L’âge médian des personnes suivies est de 46 ans(1).

Les chercheurs ont exclu les patients atteints de covid long pour ne garder que des personnes souffrant d’éventuels effets secondaires

Les chercheurs pensent que les symptômes rapportés sont en lien avec la vaccination mais ils restent prudents. 

Une chose est sûre : tous les symptômes rapportés sont apparus après la vaccination. 

Pour 50% des patients de l’étude, ils se sont même déclarés dans les trois jours qui ont suivi la vaccination. 
 

Une liste conséquente de symptômes post vaccinaux !


Parmi les symptômes post-vaccinaux recensés par l’étude, voici les plus fréquents :
  • l’incapacité d’exercer une activité physique ;
  • la fatigue chronique ;
  • les membres engourdis ;
  • le brouillard cérébral ;
  • les neuropathies, qui sont des atteintes aux nerfs périphériques. 
D’autres symptômes peuvent également survenir comme : 
  • l’insomnie ;
  • les palpitations ;
  • les acouphènes ;
  • les myalgies ;
  • les maux de tête ;
  • les sensations de brûlure ;
  • les vertiges. 
D’autres symptômes moins courants mais plus graves ont été recensés : 
  • des syndromes de Guillain-Barré ;
  • des inflammations cardiaques ;
  • des chocs anaphylactiques. 
Ces trois symptômes concernent, du reste, de nombreux vaccins. 

Ils sont rares mais ils existent.
 

Quelques chiffres donnés par l’étude(1)


50% des participants à l’étude ont connu au moins un de ces symptômes

Mais de très nombreux patients ont ressenti bien plus qu’un seul symptôme :  
  • au moins un patient a ressenti jusqu’à 35 symptômes ;
  • la moitié des patients ayant ressenti des symptômes en ont ressenti plus de 22 !
  • 77% des patients ont vu leurs symptômes apparaître après la 1ère ou la 2e injection.  
Une semaine avant que ces données n’aient été publiées, les auteurs de l’étude ont demandé aux patients comment ils se sentaient. 

Voici les résultats qu’ils ont obtenus : 
  • 93% des participants de l’étude ont affirmé avoir ressenti une gêne au moins une fois ; 
  • 8 sur 10 ont ressenti de la peur ; 
  • 81% ont eu le sentiment d’être envahis par la peur ;
  • 91% des participants ont eu des problèmes de sommeil ;
  • Certains patients étaient déprimés, vidés, se sentaient inutiles et avaient perdu tout espoir de vivre. 
Malgré tout, la moitié des participants de l’étude ont estimé être en bonne santé. 

Seule une partie d’entre eux estiment que leur vie a basculé à cause des symptômes post-vaccinaux. 
 

Une étude de plus !


Cette étude vient s’ajouter à longue liste d’autres publications constatant l’existence d’effets secondaires post-vaccinaux (liés aux injections contre le covid 19)(6).

Déjà en février 2023, une revue de la littérature scientifique avait recensé un grand nombre de publications listant les effets secondaires potentiels des vaccins anticovid 19. 

Il a ainsi été révélé que(6) : 
  • tous les vaccins anticovid 19 sont susceptibles de provoquer des effets secondaires mais que les proportions varient d’une injection à l’autre ;
  • la 2e dose du vaccin Pfizer a été particulièrement dévastatrice au niveau des effets secondaires ;
  • le vaccin Pfizer provoque notamment des décès, dyspnées, des pyrexies (fébrilité), de la fatigue et des maux de tête ;
  • le vaccin AstraZeneca est lui plutôt responsable de myalgies (douleurs musculaires), de fièvres, d’asthénie, de fatigue et d’allergies cutanées ;
  • le vaccin Moderna provoque des décès, des myalgies, des problèmes cardio-vasculaires, des maux de tête et de la fatigue et peut-être des cancers(6,7)

 

Plainte contre le Ministre de la Santé 


En France, malgré les preuves qui s’accumulent, le Ministre de la Santé Aurélien Rousseau a trouvé le moyen d’affirmer à la radio le 3 octobre 2023 que le vaccin anticovid 19 était sûr et ne causait aucun effet secondaire(8).

Face à ce nouveau mensonge d’un représentant de l’État, une plainte a été déposée à la Cour de Justice de la République par le Pr Christian Perronne, qui a  longtemps été un médecin de référence au sein du système médical national. 

Des associations et des collectifs de victimes se sont joints à cette plainte(9).

Ce mensonge du Ministre est d’autant plus absurde que sa propre administration reconnaît l’existence d’effets secondaires liés aux vaccins(10).

Le vrai problème pour le Ministre et son administration est de savoir comment aider les patients blessés par les injections à retrouver la santé.

Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois
 
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