🔎 Tempête
« Si les personnes ayant un toit sont terrifiées par la violence de cette tempête, cela donne à réfléchir sur la détresse de ceux qui n’ont rien. » Ces mots de Nikolaï Posner de l’association Utopia 56 sont révélateurs d’un impensé terrible de notre société : l’abandon des plus faibles, des plus fragiles, des plus vulnérables. Les pouvoirs publics demandent aux gens de s’enfermer chez eux, d’éviter les zones arborées, mais ceux qui vivent, dans la boue, sous des tentes de fortune, ou des bicoques de palettes sont oubliés. Cette réalité concerne l’ensemble des sans-abri, parmi lesquels on compte des familles et des enfants et avec une violence accrue, les exilés, réfugiés à Calais et à Grande-Synthe, notamment.
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