Pays-Bas et Argentine viennent, après d’autres, de succomber aux sirènes d’alerte de l’extrême droite. Les démocraties, ou ce qu’il en reste, enfantent des monstres dédiabolisés, des porteurs d’inhumanité, qui se rejoignent en une internationale des despotes. Ils n’ont plus de chemises brunes en stock mais des costards bien coupés, des robes blanches et des tronçonneuses. |
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