Sur le centre de recherche à Vitry, le plan de la direction se traduirait par la suppression de 288 postes, avec en particulier la moitié de la recherche en oncologie (le traitement du cancer). Le groupe s’oriente, d’une part, vers la sous-traitance et, d’autre part, sur l’axe thérapeutique de l’immuno-inflammation, car c’est un secteur rentable.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire