Une NOUVELLE épidémie virale semble frapper durement la Chine.
Les médias en parlent encore peu, mais les hôpitaux chinois seraient saturés.
Même les enfants sont frappés par ce que les journaux étrangers appellent la "mystérieuse pneumonie".
On ne sait pas encore de quoi il s'agit :
si ce virus est plus transmissible que le COVID
on ne sait pas si c'est grave ou comme une simple "gripette"
ou si il faut se préparer une nouvelle hécatombe, comme lors des premiers mois du COVID-19.
On ignore tout de ce virus, comme des nouveaux variants du COVID qui circulent depuis mi-octobre
Mais pas la peine d'attendre plus longtemps.
Il faut veiller à renforcer votre système immunitaire en ce début d'hiver.
Voilà pourquoi je vous invite à faire ce geste essentiel dès que vous le pouvez pour agir sur vos cellules.
Aujourd'hui si possible.
Demain sinon.
Au plus tard, avant la fin de la semaine qui arrive.
Quelques gouttes suffisent pour transformer votre santé.
Il faut dire que c’est une substance aussi précieuse que l’or pour notre corps.
Tellement précieuse qu’aujourd’hui, beaucoup de scientifiques et de médecins n’hésitent pas à parler d’une nouvelle « panacea ».
Vous savez, ce remède universel de l’Antiquité qui posséderait la propriété d’agir à lui seul toutes les maladies !
Mais avant de vous en dire plus sur cette formidable substance, je préfère vous prévenir tout de suite :
ce n’est PAS une huile essentielle
ce n’est PAS la curcumine
ce n’est PAS non plus la quercétine
Non.
C’est beaucoup plus excitant que ça.
beaucoup disent que c’est ça agit comme une sorte d’antibiotique naturel d’une remarquable efficacité1 et qui ne dérègle pas votre flore intestinale ;
que cette substance précieuse contribue à stimuler vos défenses immunitaires et à vous protéger contre de nombreuses maladies2 ;
qu’elle diminue aussi le risque d’hypertension3 ;
une étude américaine a montré qu’elle agit sur le moral, et qu’un bon taux sanguin de cette substance diminue de 85% le risque de faire une dépression4 ;
elle aurait aussi un effet très intéressant face au cancer, notamment en prévention, et des études indiquent qu’elle aiderait à prévenir les récidives et même à diminuer la mortalité de la maladie5 ;
son efficacité en prévention des maladies cardiovasculaires6 est également étudiée.
Je vais revenir sur certains de ces bienfaits, mais de nombreuses études suggèrent que son action est encore bien plus vaste.
Car ce précieux élixir est aussi utile au quotidien :
contre la grippe et les infections respiratoires en hiver7
pour lutter contre la dépression saisonnière ou les périodes de déprime passagères8
pour maintenir vos dents en bonne santé9
et réduire le risque de fractures osseuses quand elle est associée au calcium10.
Vous voyez comme cette substance est un véritable trésor pour notre santé…
Ça paraît presque « trop beau » pour être vrai.
Et pourtant, cette substance précieuse, vous la connaissez : c’est la vitamine D.
La formidable découverte du prix Nobel Robert Woodwart en 1952
Regardez ce monsieur, sur la photo.
C’est le scientifique américain Robert Woodward.
Ancien chimiste à Harvard, c’est lui qui a synthétisé pour la première fois la vitamine D11.
C’était en 1952.
Et ce travail lui vaudra d’ailleurs de recevoir le prix Nobel de Chimie quelques années plus tard, en 1965.
À l’époque, on ignorait encore que la vitamine D pouvait révolutionner notre santé.
On connaissait seulement son effet sur le rachitisme, une terrible maladie qui se caractérise par un retard de croissance et des malformations osseuses.
Mais ce n’est que bien plus tard que les chercheurs ont compris que l’effet de la vitamine D sur la santé allait bien au-delà.
Comme un interrupteur ON / OFF : elle active notre système immunitaire
C’est une étude publiée en 2010 qui a mis en lumière la capacité de la vitamine D à activer les cellules immunitaires12.
Un peu comme un bouton ON / OFF, la vitamine D se fixe sur les récepteurs des lymphocytes pour enclencher le processus de défense immunitaire contre les bactéries et les virus.
Sans cet « interrupteur », le système immunitaire ne démarre tout simplement pas.
C’est d’ailleurs pour ça qu’en hiver, on est plus facilement malades.
Nos réserves de vitamine D étant presque épuisées, notre système immunitaire n’arrive pas à s’enclencher pour nous protéger contre les bactéries et virus qui circulent.
Voilà pourquoi…
Quand on manque de vitamine D, on attrape « tout ce qui passe »
On sait notamment depuis longtemps que si on manque de vitamine D, on augmente le risque de contracter des infections respiratoires13.
Et au contraire, si on a de bons taux sanguins, on est protégé :
Une étude japonaise publiée en 2010 a notamment observé que la prise quotidienne de vitamine D diminuait de -64% le risque d’attraper la grippe14 ;
Elle aurait aussi montré son efficacité pendant l’épidémie de COVID-19. Une étude israélienne a montré que les patients qui avaient des taux suffisants de vitamine D dans le sang avaient 14 fois moins de risques de développer une forme grave de la maladie, par rapport aux patients carencés15.
Et même si on tombe malade, de bons taux de vitamine D pourraient permettre de réduire la durée et l’intensité des symptômes16.
Et ça n’est pas tout.
Selon une nouvelle étude, la vitamine D jouerait aussi un rôle important dans la modulation de la réaction inflammatoire.
Elle « éteint » l’inflammation et éloigne les maladies
C’est une petite équipe de scientifiques australiens qui a publié en Mai 2022 les détails de cette découverte dans la revue scientifique International Journal of Epidemiology17.
Pendant plusieurs mois, les chercheurs ont analysé les données génétiques de 294 970 participants.
Et ce qu’ils ont découvert est stupéfiant.
“l'augmentation de la vitamine D chez les personnes présentant des carences pourrait réduire l'inflammation chronique, les aidant à éviter un certain nombre de maladies connexes”, expliquent les auteurs de l’étude.
Cette découverte pourrait donc être une piste pour agir sur des maladies chroniques à composante inflammatoire comme la maladie de Crohn, ou l’arthrose.
Mais ces recherches sont encore très récentes, et assez peu documentées.
En revanche, ce qu’on connait le mieux, depuis le milieu du XIXème siècle, c’est le rôle que joue la vitamine D dans le maintien de la structure osseuse.
Elle favorise l’absorption intestinale et la fixation du calcium sur les os
C’est un médecin français, le Docteur Armand Trousseau, qui a remarqué pour la première fois l’action bénéfique du soleil et de l’huile de foie de morue sur la santé osseuse.
C’était en 1865, dans son Manuel de Médecine.
Bien sûr, à l’époque, on ne savait pas exactement comment tout ça fonctionnait.
Ce n’est que bien plus tard, en 1922, que les scientifiques Mc Collum et Mellanby arrivent à isoler la vitamine D et à prouver que c’est à elle qu’on doit les bienfaits sur la santé osseuse de l’huile de foie de morue et du soleil.
Ils l’utilisent pour soigner l’épidémie de rachitisme qui sévit dans le monde entier au début du XXème siècle.
Encore aujourd’hui, associée au calcium, la vitamine D est utilisée pour prévenir et accompagner le traitement des maladies de la structure osseuse, et notamment l’ostéoporose18.
D’ailleurs, même l’Autorité européenne de Sécurité des aliments, l’EFSA, reconnait ses bienfaits
Elle autorise les allégations de santé qui stipulent que la vitamine D contribue :
à l’absorption et à l’utilisation normale du calcium et du phosphore
à une calcémie normale
au maintien d’une ossature, fonction musculaire et dentition normales
au fonctionnement normal du système immunitaire
Et les scientifiques savent qu’elle agit sur pratiquement tous les endroits de notre corps :
Elle intervient dans l’activation de près de 230 gènes.
Elle soutient notre système immunitaire et permet d’échapper aux virus
Elle renforce notre cœur et aide à prévenir les maladies cardiovasculaires
Certaines études montrent aussi qu’elle agit sur la structure osseuse
Qu’elle diminue le risque de fracture et de chutes
Et qu’elle serait même efficace en prévention de certains cancers.
Voilà autant de raisons pour lesquelles il ne faut SURTOUT pas en manquer.
Car sans elle, c’est tout notre corps qui se détraque et s’affaiblit.
Mais malgré son importance vitale, il y a un constat alarmant : c’est qu’on manque TOUS de vitamine D.
En France, 8 personnes sur 10 sont en déficit de cette molécule vitale19.
Et la situation est encore pire chez les personnes de plus de 65 ans.
Il est bien sûr possible de faire un peu « remonter ses niveaux » de vitamine D quand on expose ses bras, ses jambes ou son visage au soleil.
C’est d’ailleurs pour ça qu’on la surnomme « l’hormone du soleil ».
Les rayonnements solaires vont réagir avec le cholestérol qui se trouve dans la partie supérieure de notre peau, le derme, pour former de la vitamine D3.
Mais ça n’est jamais suffisant.
Même si c’est l’été et que le soleil « tape » fort
Même si vous habitez dans le sud de la France ou dans une région ensoleillée toute l’année
Même si vous sortez vous promenez au soleil tous les jours
On en manque tous.
Et plus on avance en âge, moins notre corps est capable de fabriquer de la vitamine D.
Lisez bien ce que dit le Dr Lecerf, chef du Service Nutrition de l'Institut Pasteur de Lille :
“Une personne âgée de 70 ans produit 4 fois moins de vitamine D cutanée qu’une personne de 20 ans”.
Résultat : quand on a dépassé la cinquantaine, nos niveaux de vitamine D dégringolent.
D’ailleurs, la France détient un triste record : c’est là que les personnes âgées ont les valeurs les plus basses d’Europe.
Dans les EHPAD, la situation est encore plus préoccupante : en maison de retraite, on estime que l’insuffisance en vitamine D touche 100 % des personnes âgées.
Voilà pourquoi, à 30, 40, 50 ans et encore plus après 60 ans, il est indispensable de prendre une supplémentation en vitamine D.
C’est d’ailleurs un des rares compléments alimentaires recommandés par les médecins.
Car tout le monde ou presque en a besoin.
Si vous ne le faites pas encore, je vous conseille de prendre 2000 à 3000 UI de vitamine D en supplémentation chaque matin.
Et surtout, attention à ne pas vous « faire avoir ».
Parce que toutes les formes de vitamine D ne se valent pas.
Gare à la vitamine D « bon marché » : évitez à tout prix la D2
En pharmacie ou sur internet, vous trouverez beaucoup de vitamine D2.
C’est une des formes de vitamine D : ça s’appelle en réalité de l’ergocalciférol.
C’est une molécule structurellement très proche de la vitamine D3.
Mais en termes d’efficacité, ça n’a rien à voir.
Sous la forme D2, les scientifiques ont observé que la vitamine D était est beaucoup moins bien absorbée par l’organisme que sous sa forme D3, le cholécalciférol.
Pire, on pense qu’elle pourrait réduire les effets de la vitamine D3 !
Regardez donc bien ce que vous achetez : mon premier conseil c’est de veiller à choisir de la vitamine D3 de qualité.
L’autre point sur lequel il faut être vigilant, c’est le dosage.
Fuyez les « méga-doses »
Vous savez, les ampoules qu’on nous donnait généralement 1 ou 2 fois par an, pour « faire le plein » de vitamine D.
1 ampoule contient entre 50 000 et 100 000 UI de vitamine D.
Alors attention, je ne vais pas « taper » sur ces méga-doses, car ça reste un bon réflexe.
C’est toujours mieux de prendre une méga-dose que de ne rien prendre du tout.
Mais le problème, c’est que notre organisme n’est pas fait pour recevoir autant de vitamine D d’un seul coup.
Car il est incapable de la stocker.
Du coup, ça a un effet temporaire.
Juste après avoir avalé l’ampoule, votre taux de vitamine D dans le sang monte en flèche.
Puis redescend presque aussi rapidement.
Résultat : au bout de 2 semaines, vous êtes de retour au point de départ20 !
Ça ne sert pas à grand-chose.
Ce qu’il faut essayer de faire au contraire, c’est de maintenir un taux raisonnable de vitamine D dans le sang sur le long terme.
Et pour ça, le plus efficace, c’est d’apporter à votre corps un peu de vitamine D tous les jours.
L’idéal, c’est de viser 2000 ou 3000 UI / jour.
Et, si vous le pouvez, associez-là à de la vitamine K2.
La vitamine K2, c’est une molécule dont les scientifiques ont découvert la puissance il y a peu de temps.
Au Japon, moins de fractures de la hanche grâce à ce plat traditionnel riche en vitamine K2
Ça s’appelle le natto (納豆 en japonais).
C’est une spécialité japonaise à base de graines de soja fermentées.
Pour les non-initiés, le goût peut être un peu surprenant.
Pour être honnête, à première vue, ça peut même paraître franchement dégoûtant.
Mais les Japonais en sont friands.
Surtout ceux qui habitent dans nord-est du pays : dans la région du Tohoku et sur l’île de Hokkaido, où on en mange beaucoup.
D’ailleurs, les scientifiques ont observé un drôle de phénomène dans ces régions.
Ils ont remarqué que le nombre de fractures de la hanche chez les femmes japonaises était bien plus faible dans les régions où on consomme régulièrement du natto, par rapport au reste du pays21.
Regardez sur ce graphique, c’est assez spectaculaire.
Les régions du Nord-Est du pays sont celles où on consomme le plus de natto… et ce sont aussi celles ou le risque de fracture de la hanche est plus faible !
Les scientifiques pensent que si le natto est bénéfique pour la solidité des os, c’est parce qu’il contient beaucoup de vitamine K2 MK7.
C’est d’ailleurs l’aliment qui en contient le plus : de 200 à 400µg par portion de 30 à 45g.
Rassurez-vous, vous ne serez pas obligé d’avaler du natto !
Vous pouvez bénéficier des mêmes bienfaits en prenant une simple supplémentation en vitamine K2 MK7.
C’est très important pour la santé osseuse, et pour limiter le risque de fractures.
Mais pas seulement.
Des chercheurs ont montré que la vitamine K2 sous forme MK7 favorisait l’amélioration de la santé vasculaire et la diminution des calcifications artérielles22
Une étude menée par une petite équipe de chercheurs japonais sur 158 femmes souffrant d’arthrite rhumatoïde et d’ostéoporose a montré qu’une dose de 45 mg par jour de vitamine K2 réduit les marqueurs inflammatoires de plus de 50%23.
Et elle pourrait même avoir un effet protecteur contre des maladies métaboliques comme le diabète de type II24.
Vous voyez comme cette vitamine est importante !
Et elle est encore plus puissante quand elle est associée à la vitamine D3.
Car la vitamine K2 et la vitamine D3 agissent en synergie.
Voilà pourquoi vous devriez les prendre ensemble.
Honnêtement, c’est l’un des gestes les plus importants que vous pouvez faire pour votre santé.
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